Le Romantisme Cest La Maladie

qui explique que son « un est le tout » ne propose pas une sorte d’effondrement du monde dans l’un. Sp montre qu’on ne confondra jamais l’idée et l’exemplaire participé de l’idée ( cad l’image). Idée = forme substantielle = qualités occultes. L’idée cest la structure ontollogique qui détermine les degré de la volonté. Les être vivants n’en sont que des images. Nous sommes chacun des participations à l’idée essentielle. Nous vivons notre décharge volontaire qu’à partir de la règle, de la loi de fonctionnement

(1868-1952), entouré de quelques écrivains brillants, peu portés sur l’action. Rejetant la Réforme, qui a cassé l’unité de la chrétienté occidentale, la Révolution, présentée comme le triomphe des francs-maçons sur base d’abstractions erronées, et du Romantisme, favorable à l’abandon au sentiment et à l’individualisme sentimental, ils se déclarent monarchistes traditionnels, faisant référence à une idée plus ou moins correcte de la monarchie tempérée du XVIe siècle. Ils rejettent le suffrage universel

d'homéopathie : on guérit les doutes contre l'Eglise, contre l'Armée, par le mal même de l'Eglise et de l'Armée. On inocule un mal contingent pour prévenir ou guérir un mal essentiel. S'insurger contre l'inhumanité des valeurs d'ordre, pense-t-on, c'est une maladie commune, naturelle, excusable ; il ne faut pas la heurter de front, mais plutôt l'exorciser comme une possession : on fait jouer au malade la représentation de son mal, on l'amène à connaître le visage même de sa révolte, et la révolte disparaît d'autant

Tout marchait parfaitement en somme et nous étions bien en train de gagner la guerre, quand certain beau jour, à l’heure du déjeuner, le la trouvai bouleversée se refusant à toucher un seul plat du repas. L’appréhension d’un malheur arrivé, d’une maladie soudaine me gagna. Je la suppliai de se fier à mon affection vigilante. D’avoir goûté ponctuellement les beignets pendant tout un mois, Lola avait grossi de deux bonnes livres ! Son petit ceinturon témoignait d’ailleurs, par un cran, du désastre.

Tout marchait parfaitement en somme et nous étions bien en train de gagner la guerre, quand certain beau jour, à l’heure du déjeuner, le la trouvai bouleversée se refusant à toucher un seul plat du repas. L’appréhension d’un malheur arrivé, d’une maladie soudaine me gagna. Je la suppliai de se fier à mon affection vigilante. D’avoir goûté ponctuellement les beignets pendant tout un mois, Lola avait grossi de deux bonnes livres ! Son petit ceinturon témoignait d’ailleurs, par un cran, du désastre.

dois). Le sujet de prédilection de Brassens reste pourtant la mort. Ainsi son œuvre est-elle traversée par d’innombrables enterrements, corbillards (lijkwagen), cercueils (doodskist), cimetières, fossoyeurs et d’autres croque-morts (lijkdrager). Nul romantisme morbide cependant dans ces évocations de « La Faucheuse », il ne s’agit pas de célébrer la mort, mais d’en rire pour mieux l’apprivoiser (temmen), d’où ces chansons où le mort se relève à la fin, content d’avoir fait une bonne farce (Les 4’z’arts

est conforme à la justice, dans une circonstance particulière, sans passer par le droit, ses règles et ses raisonnements. Un auteur a écrit : « L’équité est la conception subjective que chacun a du droit et de la justice … elle est tout à fait le romantisme judiciaire, c’est le gouvernement des juges » ( Bonnecase ). Mais alors, l’équité peut être le nom de l’arbitraire. Sous l’Ancien régime, un adage général, critique envers les juges, disait : « Dieu nous protège de l’équité des parlements ». Et