Le Survenant Angelina

Le surnom du Survenant a-t-il une influence sur le personnage lui-même ? Le surnom «Survenant» est donné au personnage principal au début du roman. La définition du mot Survenant veut dire quelque chose qui arrive d'une manière imprévue, de façon plus ou moins inattendue. Mais en regardent le contexte de l’histoire et en appliquant cette définition avec le personnage, le prénom «Survenant» signifie un homme qui dérange par son comportement libertaire et son origine mystérieuse. Son nom fait signe

personnages que côtoie le survenant envient les expériences qu’il a vécues durant ses nombreux voyages. Le personnage de Joinville Provençal admire les expériences qu’a vécues le survenant et voudrait faire de même. Le personnage d’Amable Beauchemin envie l’expérience qu’a acquise le survenant par son nomadisme. Il voudrait être capable d’en faire autant pour plaire à son père. Le personnage de Didace Beauchemin apprécie le savoir faire qu’à développer le survenant dans ses voyages. Il est d’une

Bergeron Julien Besner 27 janvier 2012 Français gr.30 Le Survenant Par un soir d’automne, un étranger alla frapper à la porte de la famille Beauchemin. Les jours passaient et il aidait les hommes à remplir les diverses tâches de la ferme. Didace Beauchemin, l’homme de la famille, lui offre un logement en échange

Le survenant est libre comme l'air, car il n'a pas d'habitation fixe, pas de dettes et aucune obligation familiale. Il ne porte pas de nom, changeant de ville en ville. Il possède plusieurs qualités, mais il a un démon à vaincre '' je renie pas ma passion, j'aime la boisson, ça se voit. Tu peux pas comprendre ça, parce que tu aimes rien en dehors de ta tranquillité.'' Le dernier arrivé des Beauchemin retrouve son bonheur dans l'alcool et dans l'évasion. Le Survenant arrive comme un cheveu sur la

Moine que par l’étranger, dit le Survenant. Tout d’abord, les villageois de ce petit coin de pays nous prouvent que l’on doit être fier de vouloir à tout prix appartenir à un lieu en particulier ou à quelqu’un de bien précis. Didace nous montre ce fait par la recherche du début jusqu’à la fin d’une descendance convenable pour la terre familiale. Sachant très bien que son fils Amable est trop malade pour s’occuper de cette terre, ils jettent son dévolu sur le Survenant jusqu'à ce que celui-ci disparaisse

oeil l’intrusion de ce «Survenant» dans la famille Beauchemin. Pourtant, ce «Grand-Dieu-des-routes» exerce un fort attrait sur les sédentaires du Chenal du Moine. Il a beaucoup voyagé et est un conteur hors pair, si bien que tous les voisins accourent pour l’entendre. Parmi eux, il y a Angélina Desmarais, une voisine qui a levé le nez sur tous les soupirants du voisinage. Elle est amoureuse du Survenant et celui-ci semble répondre à son amour. L’hiver passe et le Survenant semble vouloir rester. L’amitié

de ce qu’il accomplit sur ses terres. Il est évident qu’un nomade ne pourrait pas ressentir de tels sentiments envers un travail échelonné sur de nombreuses années. De plus, le survenant ne pourrait pas ressentir un tel amour pour des terres puisqu’il na pas de domaine fixe qui lui appartient. D’une autre part, le survenant semble avoir un certain sentiment d’appartenance envers sa vie devenue un peu plus sédentaire. En effet, lorsque celui-ci dévide de partir en canot seul « [il] renifl[e] d’émotion

Dans le roman de Germaine Guèvremont le personnage principale, le Survenant, est l’incarnation du mode de vie de nomade. Ors, ce personnage est généralement décrit de façon négative tout au long du récit ce qui laisse croire que ce mode de vie n’est pas l’incarnation du bonheur. On remarque que les différents personnages qui s’y trouvent n’ont pas en très haute estime le personnage principal. L’auteure utilise le discours d’autrui pour donner du réalisme à l’histoire qu’elle raconte. On peut alors

Les oppositions sont très nombreuses dans les premières lignes du Survenant : entre l’individu solitaire qui vient frapper à la porte et le clan des Beauchemin qui crée une impression d’unité, d’entité collective, un important contraste existe. La position physique des acteurs diffère également : le Survenant se tient debout, alors que les Beauchemin sont tous assis à table ; ainsi, les regardant de haut, il les domine dès les premiers instants de son apparition. Toutefois, un autre contraste

Le Survenant D’autre part, on peut effectivement affirmer que le bonheur réside dans le nomadisme puisque le Survenant contrôle pleinement sa vie et sa destinée. En effet, ce mode de vie lui permet d’être libre d’arriver dans une famille dans laquelle il se sent bien et d’y rester. Or, il peut partir quand il le désire. Le Venant étant un travailleur expérimenté et vaillant, offre ses services en retour de nourriture et d’une place pour se loger : « Si vous voulez me donner à coucher, à manger