Les Idiots

n’ayant pas encore pris son petit déjeuner, elle avait soudain un borborygme de faim, elle se fâchait contre le borborygme. Assez ! Criait-elle au borborygme. C’est vilain ! Tais-toi, je suis amoureuse ! Bien sûr, elle se savait idiote, mais c’était exquis d’être idiote, toute seule, en liberté.

Et la bonne paysanne, apprenant mon désir, À s’ôter cette charge eut beaucoup de plaisir. 135 Dans un petit couvent, loin de toute pratique , Je la fis élever, selon ma politique, C’est-à-dire ordonnant quels soins on emploirait, Pour la rendre idiote autant qu’il se pourrait. Dieu merci, le succès a suivi mon attente, 140 Et grande, je l’ai vue à tel point innocente, Que j’ai béni le Ciel d’avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait. Je l’ai donc retirée ; et comme ma

première sous partie, nous verrons tous les moyens que l’auteur à réaliser pour exprimer son propre point de vue face à la population de faible intelligence. Ensuite, dans une seconde sous partie nous évoquerons pour quelles raisons le cinéma rend idiot les spectateurs. Pour finir dans une troisième sous partie, nous montrerons en quoi le cinéma entraine la décadence et la chute de la société d’après l’auteur.

est jouée pour la première fois en 1662. Comédie à grand succès, nous allons étudier un passage intervenant au milieu de l'œuvre théâtrale, à la scène 4 de l'acte III. Pour clore les poursuites d'Horace envers Agnès, la jeune fille volontairement idiote qu'Arnolphe souhaite épouser, il a fait promettre à celle-ci d'envoyer un grès à la tête de son soupirant s'il réapparaissait (acte II, sc5). Dans cette scène, Horace rend visite à Arnolphe et lui lit la lettre qu'Agnès avait insérée dans le grès

Ecriture d’invention : Iphicrate : Ciel… (levant les yeux au ciel) est-ce un rêve ? Que nenni crois-je bien ! Sot que je suis je me suis fait entourlouper par cet idiot (s’asseyant seul). Qu’ai-je fais au bon Dieu pour mérité sa ?! Peut être est-ce une légère punition rien de plus, rien de moins. Je l’ai logé hébergé nourri et en guise de remercîments je n’obtiens qu’un horrible saure ! Ah mon bon Arlequin… il est bien brave et culoté de se mesuré au puissant Iphicrate ! Il va voir ce qu’il

tout ce que j’ai besoin de savoir et je me moque de ce que vous pourriez me dire !» . La victoire de Marine Le Pen en 2011 est une victoire à la Pyrrhus car la grande différence entre aujourd’hui 2011, et 1981, c’est trente années. Les idiots sont morts idiots mais ils sont morts et ne votent plus. Les nouveaux tarés issus des nouvelles générations n’adoptent plus les délires de gauche car ils sont passés de mode. «les paranoïaques vont d’autant plus loin dans leurs convictions délirantes que

régression de Charlie, la toute fin du livre, apporte encore une nouvelle réflexion. Le Charlie du début ne serait-il pas l'idéal de l'homme vivant à l'Age d'Or selon les mythes antiques ? L'être innocent, qui ne connaît rien. Tant que Charlie est « idiot », il est protégé, dans sa bulle, ne comprend pas l'hostilité et la réalité de la vie. Et inversement, c'est intelligent qu'il se coupe des autres. Plus d'une fois en lisant ce livre, j'ai pensé à la théorie de la Caverne de Platon, et j'ai été contente

Baka = idiot, stupide Tame = enflure kisama = enfoiré Koso = gamin Kusobaba = vielle mégère. Kusojiji = vieux shnoque. Yarou ou Konoyarou = conard. Konokuzu = sale déchet. Damare = ta gueule. Uzai = je te hais. Uso baka una = tu mens. Teme kono-yaro = chien puant. Kuso = merde. Shinjimae = va en enfer. Chikuso = putain. Kisama = sale singe. Urusai = ferme ta gueule. Ama = salope. Nanda-yo = qu'est ce tu veux? Onore ou Kusatare = enculé yarashii = obsédé. Korya hidoi ! = c'est

château du Bon Magicien au lieu de Château-Roogna. Le Bon Magicien propose à ceux qui le visite qu’au bout et en échange d’un an à son service, il répond à une de leur question. Tandy se met donc au service du magicien. Pendant ce temps Sbam un ogre idiot qui sans le savoir cherche une compagne va aussi voir le magicien pour une réponse. Le magicien dit que Sbam doit aller vers la terre des ogres ancestraux et que Tandy doit le suivre. Sur le chemin ils rencontrent des tas de créatures dans le besoin

propreté absolue, un papier viril, voilà. Soudain, elle n'en pouvait plus. C'était alors une lecture minutieuse et lente, une étude de la lettre, avec des arrêts pour méditer, pour se représenter, les yeux fermés, et sur les lèvres un sourire un peu idiot, un peu divin. Pourtant ce dernier disparu et des larmes naquirent alors dans ses yeux, grandissèrent sur ses joues et moururent sur ses lèvres. Il osait le dire : il l'aimait alors qu'il était déjà engagé ! Mais qu'allait-on penser de lui