Les Précieuses Ridicules Conception Du Mariage

comédies ‘’ entre 1655 et 1656 (L'Étourdi où Le Dépit amoureux). De retour à Paris en 1658, il obtient la protection du frère du roi (Lois XIV) et représente ses deux premières comédies. Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules qui remportent un grand succès en 1659. Soutenu par le roi Louis XIV, marié avec la jeune comédienne Armande Béjart et jouissant d'une solide santé, Molière affronte les cabales et continue à jouer et à diriger sa troupe – devenue « Troupe

les héros et les héroïnes. L'intrigue de la comédie est construite autour de l'opposition d'un personnage du premier groupe à la satisfaction des désirs des héros du deuxième groupe (en général opposition à un mariage).Dans l’œuvre de Beaumarchais c’est en effet l’opposition a un mariage et un conflit entre Bartholo (premier groupe) et Rosine (second groupe). L'action de la comédie est donc le mouvement qui se développe d'une société à une autre. En mettant l'accent sur le personnage-obstacle

théâtreSociété et culture (classicisme) + le théâtre Les salons Au début du XVIIème siècle, la vie mondaine se développe à Paris. Les personnes cultivées se réunissaient dans des salons privés, généralement placés sous l’influence de femmes, appelées les précieuses. Les deux salons les plus importants étaient: la chambre bleue de Catherine de Vivonne à l’hôtel de Rambouillet et chez Mlle de Scudéry, qui recevaient leurs hôtes dans la chambre au premier étage de son hôtel (palais privé). Madeleine de Scudéry

• Mère : décédé en 1632 Molière a marqué l'histoire du théâtre et de la comédie française. Son nom figure parmit les plus grands. Auteur le plus joué encore à l'heure d'aujourd'hui. Ses pièces relient étroitement la vie de l'auteur et ca conception de l'art. Il écrivait des sujets tabous, et osait prendre parti. Il faisait du rire une arme pour combattre les moeurs et les contraintes de son époque. Molière s'est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique.C'est

cherche à jeter du ridicule sur l’honnêteté et la sincérité. Rousseau se trompe. Ce n’est pas de l’honnête homme que Molière se moque ; il veut seulement prouver que l’homme le plus vertueux n’est pas exempt de petites faiblesses. Le but du Misanthrope est la tolérance sociale. C’est de tous les ouvrages de Molière celui où il a représenté d’une manière plus générale les travers de l’humanité. Il est sorti dans cette pièce plus que dans les autres du cercle étroit des ridicules et des mœurs de son

personnages se répondent mot par mot, par exemple des vers 1520 à 1533.  === Arnolphe semble découvrir une nouvelle Agnès, qui représente précisément ce qu’il affirmait détester au Ier acte : « Voyez comme raisonne et répond la vilaine! / Peste! une précieuse en dirait-elle plus ? » (v. 1541-1542)    Les reproches adressés à Agnès viennent surtout de sa jalousie, car il a été obligé d’écouter les paroles amoureuses échangées par les deux jeunes gens : « Tudieu comme avec lui votre langue cajole ! »(v

personnages se répondent mot par mot, par exemple des vers 1520 à 1533. === Arnolphe semble découvrir une nouvelle Agnès, qui représente précisément ce qu’il affirmait détester au Ier acte : « Voyez comme raisonne et répond la vilaine! / Peste! une précieuse en dirait-elle plus ? » (v. 1541-1542) Les reproches adressés à Agnès viennent surtout de sa jalousie, car il a été obligé d’écouter les paroles amoureuses échangées par les deux jeunes gens : « Tudieu comme avec lui votre langue cajole ! »(v

représentées, de la bourgeoisie aux paysans. Les bourgeois auront un costume bien propre et beau, alors que les paysans auront des habits déchirés, sales… Mais ils seront aussi différenciés par leur position dans certaines scènes, comme c’est le cas dans Le mariage de Figaro de Beaumarchais : A l’acte 3, scène 15 on remarque que plusieurs classes sociales sont représentées : le comte sur un grand fauteuil, les valets debout derrière, les paysans en habit de fête debout derrière. On remarque facilement que différentes

que nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme. II ) Remise en question des valeurs d'Arnolphe Le lecteur a du mal a ressentir de l'amitié pour ce personnage grotesquement en proie à son complexe de supériorité. Il en devient ridicule. Son obsession de dominer traduit de manière très violente son manque d'assurance en lui. Il craint que tout ne lui échappe. Il frise la folie. La question de la moralité et de ses actes se pose A ) Une autorité déplacée L'autorité

la morale sont liés, on ne doit ni choquer ni aller à l’encontre des conceptions politiques et religieuses du public. Ces trois principes appliqués au théâtre donnent naissance au à la règle des trois unités, qui sont eux même liés à un plus grand principe énoncé par Molière et Jean de La Fontaine «plaire et instruire ». De grands auteurs dans tous les genres.  Théâtre : Corneille/ Le cid, Molière/Les précieuses ridicules, Don Juan, Le bourgeois gentilhomme, Tartuffe. Jean de Racine/Phèdre