Les Sentiments Des Poilus Dans Les Tranchées

les troupes se stabilisent, fin 1914, le long d’un front qui va de la mer du nord à la frontière suisse. C’est alors la guerre de position où les soldats s’enterrent dans des tranchées. Cette guerre de position dure jusque début 1918 où la guerre de mouvement reprend. En 1917, les hommes sont donc « enterrés » dans les tranchées depuis plus de deux ans et la lassitude se fait sentir parmi les troupes, c’est l’année des grandes mutineries. 1917 est une année charnière à d’autres égards : c’est l’année

sait juste que c’était un soldat engagé dans l’armée française pendant la guerre, un « poilu ». Lorsqu’elle a été créée, les pays européens entraient dans la 3ème année de la Première Guerre Mondiale. Les soldats français et allemands se battent dans le nord de la France, c’est une guerre de position. Les soldats sont alors traumatisés par la violence des affrontements et les conditions de vie dans les tranchées. II) Première partie : description et analyse Couplet 1 (l. 1 à 6) : Les soldats

l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. « Quand au bout de huit jours, repos terminé, on va reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne

l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. « Quand au bout de huit jours, repos terminé, on va reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne

Et ici, la tranchée est toute foudroyée. Avec ses murs blancs écroulés, elle semble en cet endroit l’empreinte vaseuse, amollie d’un fleuve anéanti dans ses berges pierreuses, avec, par places, le trou plat et arrondi d’un étang tari aussi... Henri Barbusse, Le Feu, Flammarion, édition 1957, p. 323 * e Edmond Vittet4, en 1916 Cher Joseph
Article inédit : sentimental… Garde le souvenir précieux des poilus. Ton ami qui te serre.

Edmond
Le poilu, c'est celui que tout le monde admire, mais

l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. 1 « Quand au bout de huit jours, repos terminé, on va reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes

C’était la guerre des tranchées…… Résumé : Aux tranchées les heures coulent lentement dans la routine, des heures d’assoupissement de la guerre. Tous les jours des bombardements continus, le bruit devient infernal, les nuits s’embrasent avec des fusées éclairantes et des obus en étoile. Dans les tranchées, il faut toujours combattre, que ce soit l’ennemi, le froid, les rats, la boue….. On se lie d’amitié avec d’autres soldats qu’on ne verra plus demain. On ne mange pas à sa fin. On espère

de l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. « Quand au bout de huit jours, repos terminé, on va reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne

l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. « Quand au bout de huit jours, repos terminé, on va reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes

 Décrivant un épisode des troubles qui affectent l’armée française après l’échec de l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. 1. Je présente l'oeuvre - quelle est la nature de l'oeuvre ? L'oeuvre est une chanson. quel