Les Tombées de la nuit

Que la nature est généreuse me disais-je ! Un incroyable plaisir se dessinait devant mes yeux. Cependant dans l’immensité du ciel, il transparaissait la fin de cet incroyable spectacle et la tristesse que j’éprouverais à me glisser dans mon lit. La nuit répandrait bientôt son voile, les lumières du village au loin s’allumeraient et la lune atteindrait son plus haut point pour effacer à tout jamais cet instant. Mais pour le moment je ne pensais absolument pas à ça, l’instant paraissait se prolonger

veillant sur tes paupières closes ; Et mes yeux se mouillaient de pleurs, songeant aux choses Qui nous attendent dans la nuit. Un jour mon tour viendra de dormir ; et ma couche, Faite d'ombre, sera si morne et si farouche Que je n'entendrai pas non plus chanter l'oiseau ; Et la nuit sera noire ; alors, ô ma colombe, Larmes, prière et fleurs, tu rendras à ma tombe Ce que j'ai fait pour ton berceau. nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn- nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnA

Objet d’étude : La poésie. Textes : Texte A : Alfred de MUSSET, « La Nuit de Mai », Poésies nouvelles, 1835 Texte B : Aloysius BERTRAND, Gaspard de la Nuit, III, VII, 1842 Texte C : Guillaume APOLLINAIRE, « Nuit rhénane », Alcools, 1913. Texte D : Jacques ROUBAUD, « Nuit sans date rue Saint-Jacques », La forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains, 2006. Texte A : Alfred de MUSSET, « La Nuit de Mai », Poésies nouvelles, 1835. [Cette poésie, qui fait suite à la

ANTHOLOGIE DE POEMES 1- « Je veux peindre la France une mère affligée » Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, 1616 2- « IV », « Pauca Meae » Victor Hugo, Les Contemplations, 1856 3- « Un rêve » Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit ,1842 4- « Nuit sans date rue Saint-Jacques » Jacques Roubaud, La forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains, 2006. 5- « Cœur, couronne et miroir » Guillaume Apollinaire, Calligrammes, poemes de la paix et de la guerre, 1913-1916

Ta voix dans la nuit Ta voix dans la nuit est un roman écrit par Dominique Demers et est une histoire d’une fille du secondaire. Fanny, le personnage principal, est une jeune fille qui vient juste de déménager dans une nouvelle ville. A un camp pendant l’été, elle rencontre Marilyse, qu’elle devient bonne amie avec. Mais pendant l’année scolaire, Fanny fais son coq à Marilyse devant l’école et Marilyse ne l’apprécie pas du tout. Marilyse et son groupe d’amies intimide Fanny et sont toujours

et 12 que l’on découvre qu’il s’agit d’un pèlerinage. • Tristesse : -V.7 : Seul, Inconnu -V.8 : Triste, Nuit • Le poème décrit la journée du poète : -Vers 1 : « Demain, dès l’aube… »  Métaphore -Vers 9 : « Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe »  Métaphore • Pronom dominant : -« Je » • Autres pronoms : -« tu/toi/ta » = Léopoldine, sa fille qui repose dans la « tombe » • Vers 5 : « Les yeux fixées sur mes pensées » Le poète ne pense qu’à sa fille, il ne se laisse pas détourner

à un terrible enfer. Henri de marsay jeune homme, fils de lord dudley. Henrie fait la rencontre un jour d'Une jeune femmes, aux Tuillerie il en tombe amoureux cette jeune femme était spéciale elle avait des yeux en or donc ont l'appeler la fille aux yeux d'or. Elle se nomme paquita valdès. Henri a décidé de la suivre Mais elle, elle se fait surveiller nuit et jours par une duègne et l'hôtel sans Real est organiser. Vu que Henry peux pas la voir à cause de l'actuel il va lui envoyer une lettre dans

perdu. La tombe Celui qui dit «je» (à neuf reprises) cherche désespérément à rejoindre un «tu» présent uniquement dans la première strophe, c’est-à-dire dans les pensées du poète. Ce destinataire disparaît dans la deuxième strophe dans laquelle le poète exprime ses sentiments («seul», «triste» ; voir aussi la comparaison du vers 8) pour ne laisser qu’une tombe dans la troisième strophe. Le mot apparaît deux fois à la rime, car il y a homophonie entre le verbe «tombe» et le nom «tombe» qui révèle

fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par

parents soient déçu et que les autres s'en prennent à eux et disent du mal à cause de moi, je voudrai que vous les laissiez faire pour mon enterrement, les laisser m'enterrer dans le cimetière chrétien, mais dès que le soir sera venu, vous irez à ma tombe et vous sortirez mon corps et l'enterrerez de nouveau dans le cimetière musulman après avoir effectuer la prière du défunt (le "Janaza") c'est mon vœu d'être enterrée en musulmane." Le Qazi fut surpris, effrayé mais accepta de réaliser son dernier