Lèvre

| | | « Eh bien, Florentine, qu'est-ce que tu fais à soir?> [...] Sa lèvre inférieure trembla, et d'un petit coup de dents elle la mordit. Puis, s'affairant, elle tira une serviette de papier d'une boite nickelée [...] » Bonheur d'occasion, Gabrielle Roy Combien y a-t-il de connecteurs dans cet extrait? |



Regarde rayonner sur ton destin moins sombre 
 Ce soleil de l'amour qui pour jamais te luit, 
 Qui, même après la mort, brille sorti de l'ombre, 
 Qui n'a pas de couchant et n'aura pas de nuit ! Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine ;
 Puisque j'ai dans tes mains posé mon front pâli ; 
 Puisque j'ai respiré parfois la douce haleine 
 De ton âme, parfum dans l'ombre enseveli ;

Puisqu'il me fut donné de t'entendre me dire
 Les

Une trogne rustique à prendre des copies, Un nez qui au mois d’août distille les roupies, Un ris sardonien à charmer les lutins, Une bouche en triangle, où comme à ces mâtins Hors œuvre on voit pousser de longues dents pourries, Une lèvre chancreuse à baiser les furies, Un front plâtré de fard, un boisseau de tétins, Sont tes rares beautés, exécrable Thessale. Et tu veux que je t’aime, et la flamme loyale De ma belle maîtresse en ton sein étouffer ? Non, non, dans le bordeau

antéro-postérieur et en utilisant une compresse par passage. • 1ère compresse : ½ pubis droit, pli inguinal droit. • 2ème compresse : ½ pubis gauche, pli inguinal gauche. • 3ème compresse : grande lèvre droite. • 4ème compresse : grande lèvre gauche. • 5ème compresse : petite lèvre droite. • 6ème compresse : petite lèvre gauche. • 7ème compresse : méat urinaire. • 8ème compresse : que l’on laisse sur le méat urinaire Je jette les gants stériles, me frictionne les mains au SHA, ouvre le blister contenant

Et ce, par une accumulation de termes se rapportant au champ lexical de la sensualité. L’idée d’un corps voué au désir qu’exprime l’auteur dans les quatre premiers quatrains : « sa bouche de fraise », « pétrissant ses seins », « la lèvre humide », « mes seins triomphants », « mes bras veloutés » ; montre à bien des égards une omniprésence de la sensualité féminine. De surcroit, cette notion est accentuée par l’élément de redécouverte du plaisir qu’évoque Baudelaire dans sa métaphore : « Et fais rire

vers 5) , la vue : « j'ai vu briller » ( vers 9). Ensuite, le poète exprime son amour a travers des images de passion et des souvenirs heureux qu'il évoque . Ainsi, dans les trois premiers quatrains on retrouve le champs lexical de la passion : « ma lèvre »( ver 1), « douce haleine » ( ver 3) , « ta bouche » ( ver 8) . Cette omniprésence montre que le poète à beaucoup de tendresse pour son amante. Au vers 7 , nous avons un parallélisme antithétique : « puisque j'ai vu pleurer, puisque j'ai vu sourire

narines béantes, et la lèvre pendante; de plus après avoir poussé démesurément mes oreilles se dressent. Je ne voit aucun avantage à cette malheureuse métamorphose, si ce n'est que mes avantages naturels se développaient, pour moi qui ne pouvais plus tenir Photis dans mes bras. Et tandis que privé de tout moyen de salut, j'observais mon corps, je voyais non pas un oiseau mais un âne, me plaignant de ce qu'avait fait Photis mais privé de gestes humains et aussi de ma voix, ma lèvre inférieure pendante

victime, près de son visage. • Avec la main placée sur le front, maintenez la tête basculée en arrière. • Avec l'autre main, soulevez le menton sans appuyer sur la gorge et tenez la bouche de la victime fermée, le pouce appliquant la lèvre inférieure contre la lèvre supérieure pour éviter les fuites. • Appliquez la bouche largement ouverte autour du nez de la victime. • Insufflez progressivement en 2 secondes jusqu'à ce que la poitrine commence à se soulever. • Redressez-vous légèrement, reprenez

à son aspect militaire, fringant. A cela s’ajoute une description physique précise, caractéristique des romanciers réalistes : Grand, bien fait, blond, d'un blond châtain vaguement roussi, avec une moustache retroussée, qui semblait mousser sur sa lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d'une pupille toute petite, des cheveux frisés naturellement, séparés par une raie au milieu du crâne, il ressemblait bien au mauvais sujet des romans populaires. Le caractère de Georges Duroy est étroitement lié à ce

I) Une habile stratégie de séduction. _____1) La dédramatisation. -Cyrano s'efforce de rassurer Roxane sur l'innocence de ce baiser. Il essaye de la mettre en confiance ; « Je ne vois pas pourquoi votre lèvre ne l’ose », « Ne vous en faite pas un épouvantement » (négation), « glissé sans alarmes ». Cyrano utilise des références culturelles ; « la reine de France, au plus heureux des lords en a laissé prendre un ». Il lui montre qu'il s'agit seulement de l'aboutissement d'un parcours sentimental