Lithosphère continentale

Wegener construit une théorie appelée « dérive des continents ». On cherche les arguments qui lui ont servi à formuler cette théorie. Les arguments concernent plusieurs domaines de la géologie : • Les contours des continents (reliefs des marges continentales plus précisément) • Les structures géologiques (massifs montagneux anciens) • Les fossiles terrestres (fossiles du secondaire principalement) • Les traces de glaciation (sens d’écoulement des glaciers) site de travail sur les arguments

Partie 1 : Dynamique du domaine continental Chapitre 1.1 : Caractériser le domaine continental 1.1.1/ La nature et la densité des roches ● Croute océanique basaltique ● Croute continentale granitique ● Croute continentale moins dense 1.1.2/ L’épaisseur de la lithosphère ● Lithosphère continentale : 30 à 120km ● Raccourcissementhorizontal compensé par un allongement vertical ○ Conséquences structurales ○ Conséquences prétrologiques 1.1.3/ L’âge des roches ● Système ouvert puis qui se ferme ● Loi

avec la profondeur de 2,7 à 12,0 La zone la mieux connue est la lithosphère : formée de la croûte et d’une partie du manteau supérieur, épaisse de 70 Km (sous les océans) à 150 KM (sous les continents), elle est considérée comme rigide et découpée en plaques mobiles qui flottent sur l’asthénosphère. Figure 1 : Structure interne de la Terre Figure 2 : Détail de la Lithosphère et de l’asthénosphère 1. Croûte continentale, 2. Croûte océanique, 3. Manteau supérieur, 4. Manteau inférieur,

dilatation. Se propagent dans les solides et les liquides Les ondes S (secondes) = ondes de cisaillement. Se propagent seulement dans les solides Les ondes L (longues) = ondes de gd amplitude qui ne se propagent qu’à la surface (lithosphère) II/ LE DECOUPAGE DE LA TERRE EN COUCHES CONCENTRIQUES 3 gd couches : La croûte (couche la plus en surface) Le manteau (couche intermédiaire) Le noyau (partie la plus interne) Ces couches ont des propriétés

profondeur des fond océaniques mais aussi la limite entre la croute continentale et la croute océanique. L’exploitation de ces informations nous a permis de déduire que la marge ouest-atlantique est une marge passive, en effet plus on s’éloigne du continent plus la croute continentale est en profondeur et ceux jusqu'à la croute océanique, de plus il nous est indiquer sur le document qu’il y a une transition entre la croute continentale et la croute océanique. Partie b) Sur ce document nus pouvons voir

produit d’ensemble lithos structurales modelées par les agents d’érosion. C’est sur assise lithologique (bâti) et structurale que s’exercent les processus d’érosion, transport et dépôt, pour donner des formes de reliefs diverses. formes de reliefs continentales : montagne, plateau, plaine… formes littorales : contact terre/mer formes sous marines : fosses, montagnes ou volcans sous-marins… II. LES ÉLÉMENTS D’ANALYSE Ces éléments reposent sur trois ensembles essentiels : nature et disposition des roches

constituée de : (a) Croûte continentale solide essentiellement granitique surmontée par endroit de roches sédimentaires. Elle est plus épaisse que la croûte océanique (de 30 km à 100 km sous les massifs montagneux). (b) Croûte océanique solide essentiellement composée de roches basaltiques. Relativement fine (environ 5 km). (2) Lithosphère : elle est constituée de la croûte (plaques tectoniques) et d’une partie du manteau supérieur. La limite inférieure de la lithosphère se trouve à une profondeur

08.10 21 mρ Terre = 5.52.103 kg.m-3 = 5.52 Tonnes .m-3=5.52g.cm-3 Densité moyenne de la Terre : d Terre = 5.52.g.cm-3 / 1g.cm-3 = 5.52 1-2-Evaluation de la densité de quelques roches de surface ( roche de la croûte océanique et de la croûte continentale) Nous avons accès à la surface de la Terre aux roches d’affleurement. Ces roches sont principalement de trois grande famille : • Les roches sédimentaires : Roches formées en milieu aquatique (mer, lacs, glacier) qui résultent de l’accumulation

- Snider-Pellegrini – Complémentarité des formes continentales entrel' Amérique du Sud et l'Afrique 1875 - Suess – Les continents (SiAl) de densité 2,8 flottent sur les océans (SiMa) de densité 3,3 1906 – Brunhes – Des inversions du champ magnétique sont mesurables dans les laves de la chaine des Puys. 1960 – Cox & MacDougall – Etablissement de l'échelle magnétostratigraphique des 4 derniers millions d'années à partir de données continentales uniquement 1961 – Mason & Raff – Il existe une «

Thème 1-B : La tectonique des plaques : l’histoire d’un modèle Chapitre 8. : Une lithosphère découpée en plaques rigides et mobiles La lithosphère rigide apparaît donc comme mobile au-dessus de l’asthénosphère ductile. Reste à comprendre comment modéliser la dynamique de cette lithosphère en mouvements de plaques. Problème : comment définir les plaques lithosphériques et leur dynamique ? I. Les failles transformantes En 1965, le géologue canadien Wilson avait remarqué dans les linéations magnétiques