Lyre

désespoir; l'amoùr tu la Patrie la ruxtalgie du Pays nat4 ; l b@ùté sublime de la natlrle. ot1l€ sentime]rt relj8reua Le lyri$me dâris lligtoire à destinée erpnmer les à D.ns l'Anli$dté ]a poésielj'riqqe s'opPosait la poési€épi$re Elle étâit de lâ lyre' orphée estlâ en leurs te"tes qui personn despoetes, chantaiet:t sentiments "'accompagnant inlerhalesPar ses les qui symbolisele poètelyriquê : il rémsit à émorrYôir PuÈsances À!.r." rny'ttl'ofogiq.ru péûafurfinent' Eur''rlice' mortç po,r. obtenir

étaient de coutume de les accompagner d’une lyre. Cet instrument est à l’origine du mot lyrique qui désigne l’expression des sentiments du poète, sous une forme agréable et recherchée. Nous pouvons donc nous demander si la poésie est essentiellement, c’est à dire par nature et à dominante, lyrique. À ses origines la poésie était chantée. C’est là le premier sens du mot lyrisme. Ainsi, dans l’antiquité grecque le chant des aèdes était accompagné de la lyre. Le mythe d’Orphée, issu de la mythologie

régulière. Les deux premiers vers du sizain sont plats et les quatre suivants sont embrassés. Il ne contient aucun rejet et contre rejet. Il y a une allitération avec les « s » qui reviennent souvent. Quelques figures de style : 1. « Sappho qui sur sa lyre » : Métonymie car on remplace un mot par un autre mot. « Sur » pour dire « avec ». 2. « Répandit sa grâce et ses feux » : Métaphore car on compare ses feux à ce qu'elle dégage. Quelque chose de chaud. Comparé : Les feux Comparant :

trois. Ensemble, elles représentent les pré-requis de l'art poétique dans la pratique du culte : Aédé (le « chant », la « voix ») Mélété (la « méditation ») Mnémé (la « mémoire ») À Delphes, elles portent le nom des trois premières cordes d'une lyre :  Nété (Aiguë) Mésé (Médiane) Hypaté (Grave) Cicéron en compte quatre :  ThelxinoéAédéArchéMélétéC'est Platon (dans Ion) vers 401 av. J-C, puis les néo-platoniciens, qui font des neuf Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur

(frou-frou, paletot, culotte) et soutenu (féal, muse, lyres, idéal.) Rimbaud fait une recherche sur la forme poétique, il innove, il veut créer de la liberté en poésie. Il veut servir une nouvelle poésie (l’image du féal, du chevalier servant) La lyre est l’instrument du poète, il veut donner de nouvelles cordes à cet instrument. Conclusion : Ce poème est une « fantaisie », c'est-à-dire une œuvre où l’imagination donne libre cours sans soucis des règles formelles avec un parti prit d’originalité

surtout de la poésie et de la musique. Liens de parenté : Zeus son père (roi des Dieux et dieu du ciel), Léto sa mère (une titanide, fille des titans), Artémis sa sœur jumelle (déesse de la chasse), Asclépios son fils Attributs  La lyre, l’arc et les flèches sont les attributs les plus communs d’Apollon, le laurier et sa principale plante, le cygne et le dauphin sont les principaux animaux. Légende : Les légendes qui concernent Apollon sont relativement peu nombreuses en comparaison

plus proche de son sens premier : accompagné de la lyre, instrument à archet, ancêtre de la viole. Quand Ronsard dit, dans sa préface des Odes « quand tu m’appelleras le premier auteur lyrique français » c’est donc qu’il considère que sa poésie est faite pour être chantée. L’amour de Ronsard pour la musique Ronsard publie en 1550 les Odes, sa première œuvre. En grec « ode » signifie le chant. Ronsard veut ainsi faire revenir l’usage de la lyre, qu’il considère comme le seul instrument qui «

grande partie sur le pouvoir de sa voix, en effet la voix est une forme d'enchantement qui séduit et abuse les humains, seuls les héros tel que Ulysse peuvent s'en jouer. Elles seraient dotées d'un talent musical exceptionnel, chanteraient au son de la lyre des prophéties et joueraient de la flûte. De cette manière, elles attireraient les hommes et leur fairaient perdre le sens de l'orientation, les bateaux se fracasseraient sur les récifs. Les sirènes seraient des êtres dotés d'un dangereux et irrésistible

représenté avec son arc et ses flèches, ou encore avec une lyre : on le qualifie alors de «citharède». Il est également appelé «musagète», celui qui conduit les Muses. Le surnom de Loxias, «l'Oblique», lui est attribué à cause de l'ambiguïté de ses oracles. Quelle est la place et les fonctions d'Apollon au sein de panthéon grec et de la religion grec en général ? Les deux attributs d’Apollon sont l’arc et la lyre, qu’il réclame à sa naissance, dans l’hymne homérique

Faut-il donc, en ces jours d'effroi, Rester sourd aux cris de ses frères ! Ne souffrir jamais que pour soi ! Non, le poète sur la terre Console, exilé volontaire, Les tristes humains dans leurs fers ; Parmi les peuples en délire, Il s'élance, armé de sa lyre, Comme Orphée au sein des enfers. «Orphée aux peines éternelles Vint un moment ravir les morts ; Toi, sur les têtes criminelles, Tu chantes l'hymne du remords. Insensé ! quel orgueil t'entraîne ? De quel droit viens-tu dans l'arène Juger sans avoir