Morale De Le Philosophe Scythe De Jean De La Fontaine

propre vide et notre propre chaos culturel à leur proposer. La société dite libérale ( nous venons de voir ce qu'il en est réellement ) se noie dans la déliquescence et le nihilisme. La société soviétique est bien loin de s'être libérée de la morale chrétienne et du goût bourgeois décadent du XIXe siècle ; à la différence de la Révolution française, elle n'a pas osé se poser comme un point de départ historique et a conservé le calendrier chrétien orthodoxe, le plus déphasé par rapport à la réalité

HISTOIRE Seconde Livre du professeur Sous la direction de Jean-Michel LAMBIN agrégé d’histoire Julien DOCHEZ Agrégé d’histoire, professeur au lycée Wallon, Valenciennes Anne-Claire LEFEBVRE Certifiée d’histoire-géographie, professeur au lycée Watteau, Valenciennes Marcel SPISSER Agrégé d’histoire Jean-Luc VILLETTE Agrégé d’histoire, professeur en Première supérieure et Lettres supérieures au Lycée Gambetta, Arras José ZIEMNIAK Certifié d’histoire-géographie

pour dire le vrai et rendre intelligible le présent. Le médiéviste ne déparie pas de ce corps, bien qu’aujourd’hui le terme englobe tous ceux qui étudient le Moyen Âge, qu’ils soient historiens, historiens de l’art, archéologues, anthropologues, philosophes, littéraires, juristes…. et relèvent des sciences humaines (ou sociales). Comme l’historien, le rôle du médiéviste est avant tout de se consacrer au temps, notamment à la production sociale du changement (ruptures, continuités) ; travaillant sur

l’histoire, ce qui est toujours la pire des choses. Et l’Antiquité peut servir de piste de réflexion quand on la respecte, pas quand on l’instrumentalise. Un des derniers exemples en est l’exposition sur « Rome et les barbares » au palazzo Grassi. Jean-Luc Aillagon, ancien administrateur du Palazzo et ancien ministre mauvais de la culture ose déclarer : « Ce sont ces peuples Barbares qui ont aidé Rome à prospérer et à maintenir en vie son grand rêve fédérateur bien après son sac en 410 ». Ces propos

| |Dans le cadre de la collection : “ Les classiques des sciences sociales ” | |fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, | |professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi

nombreuses reproductions Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, bénévole, pré-retraité, Paris. Courriel : pierre.palpant@laposte.net Dans le cadre de la collection : “ Les classiques des sciences sociales ” fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l’Université

La Défense. Ma gratitude va tout particulièrement à Jean-Yves Masson pour la générosité et la bienveillance avec laquelle il nous a dispensé ses conseils et ses encouragements. Ce collectif n’aurait pu voir le jour sans la constance qu’il nous a manifestée dans son soutien. Je souhaite exprimer ma reconnaissance à Maryvonne Saison pour l’aide décisive qu’elle nous a apportée dans ce projet, ainsi qu’aux enseignants de Paris-Sorbonne, et à Jean-Loup Bourget, Denis Guénoun, Gérard Raulet pour leur

| |Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" | |dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, | |professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi | |Site web:

atténuée est «jarnicoton» (pages 57, 181) que Queneau fait prononcer par le duc en 1439 alors que le juron fut inventé plus tard par le père Coton, jésuite et confesseur d'Henri IV, pour éviter à son éminent pénitent de jurer en disant «jarnidieu» ; - «jean-foutre» (page 175) : incapable, pas sérieux ; - «jurement» : exclamation, imprécation sacrilège proférée par dérision ou dans une intention d'offense ; mais le mot est employé en 1964 (pages 249, 258) au sens de «juron» : c’est donc alors un anachronisme;

est « jarnicoton » (pages 57, 181) que Queneau fait prononcer par le duc en 1439 alors que le juron fut inventé plus tard par le père Coton, jésuite et confesseur d'Henri IV, pour éviter à son éminent pénitent de jurer en disant « jarnidieu » ; - «jean-foutre» (page 175) : incapable, pas sérieux ; - «jurement» : exclamation, imprécation sacrilège proférée par dérision ou dans une intention d'offense ; mais le mot est employé en 1964 (pages 249, 258) au sens de «juron» : c’est donc alors un anachronisme;