Moraliste

de la Lettre à Sophie Volland Question : Quels points de vue les deux auteurs adoptent-ils au sujet de la passion ? Texte A Discours sur le bonheur Texte B Lettre à Sophie Volland Réfutation l’idée des moralistes sur la passion présentée comme un danger. L’auteur récuse les conseils des « moralistes qui disent aux hommes : réprimez vos passions » L’auteur dit qu’il « ferme l’oreille aux conseils des philosophes » Les deux auteurs soulignent l’intérêt de la passion dans la mesure où celle-ci rend

mais les autres ne le respecte pas car ils lui donne des conseils, de même pour le narrateur « Jupin ». LF cherche à plaire à son lecteur en le faisant sourire mais il cherche aussi à l'instruire comme le veux l'idéal classique et sa fonction de moraliste. La morale commence dans la ligne 27 jusqu'à fin du récit. LF termine la liste des animaux car la morale va s'adresser à eux. V28 : Lynx envers mes pareils et taupes envers nous. V29 : Nous nous pardonnons tout et rien aux autres hommes.

compliments sont hyperboliques et souvent rapportés au discours indirect libre : vs 23-24). Enfin, le renard est désigné par son habilité. Une vraie satire est alors illustrée ici. B. Un morale satirique La moralité est articulée au récit. Le moraliste s'adresse à son lecteur mais avait déjà donné une lecture à clé dans son récit par le jeu de symétrie (courtisans/lion) et les liens paradoxaux. La Fontaine invite son lecteur à jouer de prudence soulignée par l'antithèse du vs 35 (« fade adulateur »

apostolique mais le poète réagit avec vivacité, ton agressivement ironique : dénonce l’envie mesquine qui ronge son interlocuteur. Baudelaire se crée des jouissance secrètes dans la solitude. Il fait ensuite référence aux auteurs classiques et cite les moralistes (La Bruyère, cf. chapitre « De l’homme ». (NB : Edgar Poe avait placé cette citation en épigraphe de son texte « L’homme des foules »). L’homme ramené à lui-même ne peut supporter son néant. La « cellule du recueillement » entraîne l’éloge de la

motivations de l’individu ainsi que de ses aspirations futures et ses préférences. On peut donc dire que les choix qui nous paraissent libre sont en réalités le résultat de nombreuses causes. Enfin on peut faire une critique moraliste de la liberté. Pour les moralistes tels que Emmanuel Kant ou Rousseau il n’existe pas de liberté sans loi car pour eux la liberté de chacun serait en ce sens contradictoire : les désirs universels de chacun s’abrogeraient. Pour eux la loi est donc nécessaire, et

garder ses distances, à fuir un ton emphatique, comment ne pas penser que le narrateur ne coïncide pas un peu avec ce roseau, en tout cas dans une phrase comme « Mais attendons la fin » ? b/ Un poète Les classiques voulaient instruire (c/ Un moraliste) et plaire. Notre récit est en effet poétisé par plusieurs procédés. Les symétries jouent des rôles divers. Celle du vers 10 est une comparaison dans laquelle le roseau sert au chêne de faire-valoir. Celle du vers 28 fait durer le suspense. Cette

par l’homme mais qui a pour effet de le rendre malheureux. 2. Arguments d’Augustin : Les hommes sont misérables par leur faute car quiconque désire se délivrer de sa misère y parvient. Les arguments utiliser par Augustin sont d’un point de vue moraliste pour ainsi dire que le bonheur serait en lien avec la vertu et que tous les hommes sont capables de laisser tomber leurs désirs de chaires pour atteindre un niveau plus élevé, niveau auquel il n’y a plus de malheur. Le bonheur n’est mérité que

Marivaux. Le premier célèbre les sentiments et les émotions de la femme, tandis que le second est le récit d'un jeune et beau paysan qui profite de l'attirance qu'il a auprès des femmes plus âgées pour évoluer dans la société. - Moraliste : Inscrit dans la lignée des moralistes du XVIIe siècle, comme La Bruyère, La Rochefoucauld - Journaliste : a écrit des articles de presse écrite. Même si Marivaux fut élu à l'Académie française, il ne connut pas la renommée de son vivant. Son œuvre ne sera reconnue

Brandon au tribunalIII. Reconfiguration en actes de la constellation des personnagesCOURS 3 – le 05/10Deuxième commentaire de texte sur Austen – Chapitre 11, deuxième livreSujet : retrouvailles entre Elinor et son frère, dialogueThème : portrait moraliste, satirique du frère → matérialiste, hypocrite, avare, indélicat3R caractérisent un gentleman à époque géorgienne : retenue, religion, raffinement portrait à la fois ridicule et embarrassant sottise le met sur la fausse piste d’un mariage

Lien d’amitié conception morale étudié d’un point de vue politique=réflexion morale qui  est un support politique du tyran.  ● Pourquoi un développement sur l’amitié en fin de discours?  Une digression?     I. Une leçon d’amitié développé par un moraliste humaniste    1. Une énonciation didactique, une leçon  2. Un thème constant: l’amitié, concept moral, un absolu, un fondement de l’humanité  3. L’usage illustratif de situation, d’exemples    I.   Une réflexion à visée politique: l’amitié ne peut être un fondement du système