Motoneurone

cheminent par des faisceaux pyramidaux qui descendent le long de la moelle épinière jusqu’au motoneurone. Le corps cellulaire du motoneurone reçoit des infos diverses (par de très nbrs synapses excitatrices ou inhibitrices) qu’ils intègrent pour former un mess nerveux moteur unique. Chq fibre musculaire reçoit le mess nerveux moteur provenant d’un seul motoneurone. Ds une synapse inhibitrice, l’action du motoneurone est inhibé par un interneurone.

L’organisation de l’arc réflexe à l’échelle cellulaire 1-L’organisation d’un centre nerveux, la moelle épinière 2- La structure d’un nerf 3-Le réseau neuronique impliqué dans un réflexe myotatique a. Le neurone sensitif b. Le neurone moteur ou motoneurone c. La synapse, zone de jonction entre le neurone afférent et le neurone efférent 1 DAEU- cours de Sciences de la Nature et de la Vie- Marie Claire Garnier I – l’organisation du système nerveux Le système nerveux de l’homme comme celui

efférentes : motoneurone alpha du muscle homonyme et synergique * Aptitude d'avoir une contraction réflexe d'un muscle provoquée par son propre étirement (des aptitudes reliées aux activités motrices). Ce réflexe assure en partie le tonus musculaire nécessaire au maintien de la posture. Il repose sur différentes populations de neurones : * Les neurones sensoriels, en liaison avec les récepteurs sensibles à l'étirement : les fuseaux neuromusculaires * Les motoneurones des muscles extenseurs

(Purves, Augustine et al. 2005). Les fibres sensorielles issues des fuseaux neuromusculaires et les motoneurones alpha sur lesquels elles agissent constituent l’arc réflexe myotatique (Purves, Augustine et al. 2005). L'organisation de cet arc réflexe, appelée innervation réciproque, permet d'activer un groupe de motoneurones et de contracter un groupe musculaire donné et d'inhiber simultanément les motoneurones des muscles antagonistes (Purves, Augustine et al. 2005). I. Le réflexe myotatique : Le réflexe

synapses excitatrices neurone sensitif-motoneurone de l’extenseur b-des synapses excitatrices neurone sensitif-interneurone puis c- des synapses inhibitrices interneurone-motoneurone du muscle fléchisseur, antagoniste. L’arrivée de PA dans le neurone sensitif de l’extenseur provoque le départ de PA dans le motoneurone du même muscle et le blocage du motoneurone de l’antagoniste, le jambier, où ne circule plus aucun influx. 6-6bis et 7-7bis Les PA du motoneurone de l’extenseur provoque la libération

Le muscle squelettique est innervé par un neurone moteur appelé motoneurone. La jonction entre le motoneurone et la fibre musculaire est une synapse neuromusculaire appelée une plaque motrice   Une même fibre nerveuse innerve plusieurs fibres musculaires. L'ensemble formé par le motoneurone et les fibres musculaires innervées constituent une unité motrice.   Un muscle est formé des milliers des fibres musculaires. Chaque motoneurone innerve un ensemble des fibres musculaires, donc un muscle est constitué

fuseau neuromusculaire -> neuro sensitif -> syn excitatrice -> motoneurone -> muscle extenseur de la jambe = Réseau excitateur - 2e réseau neuronal : du fuseau neuromuscu -> neurone sensitif -> syn excitatrice entre neuro sensi et 1 interneurone inhibiteur -> motoneurone -> muscle fléchisseur de la jambe = Réseau inhibiteur - 3e réseau neuronal : du neurone efférent du SNC -> syna exci -> interneurone inhibiteur -> syn inhi -> motoneurone -> muscle extenseur de la jambe = Réseau inhibiteur - Corps

comprend deux neurones principaux : - un neurone sensitif et centripète dont le corps cellulaire est situé dans le ganglion spinal ; - un neurone moteur et centrifuge ou motoneurone α dont le corps cellulaire se trouve vers le centre. C’est un réflexe qui met en jeu des chaînes de deux neurones : un neurone sensitif en T relié au motoneurone α. Il ne fait intervenir donc qu’une seule synapse. C’est le cas des réflexes d’étirement ou myotatique. Exemple : le réflexe rotulien et achilléen. Le réflexe myotatique

croisent au niveau du bulbe rachidien avant de se connecter aux motoneurones de la ME . ainsi, chaque aire motrice commande les mouvements de la moitié opposée du corps II l’intégration des MN 1) des réponses motrices intégrées . à tt moment, le corps cellulaire du motoneurone reçoit, par diverses connexions synaptiques, de multiples informations qu'il intègre sous la forme d'un message moteur unique : le corps cellulaire du motoneurone, ainsi soumis à une « pluie » de neurotransmetteurs, fait la somme

en fréquence de Potentiel d’Action Conduction du message codé par régénération des PA Transmission du message codé en fréquence de potentiel d’action en concentration de NeuroTransmetteur dans l’espace synaptique Moelle épinière Motoneurone Corps cellulaire avec plusieurs synapses Axone Axone (plus ou moins myélinisé) Plaque motrice (terminaison axonique Réception des NT Sommation temporelle et spatiale des messages Genèse d’un message moteur codant en fréquence de PA l’intensité