Parataxe

VERS 1 : * Le sonnet s’ouvre sur le pronom personnel sujet de P1 « je » ce qui marque la forte implication de l’amante dans le sonnet ainsi que sa grande sensibilité. * Les termes antithétiques « vis/ meurs, brule/noye » coordonnés ou en parataxe (c’est-à-dire simplement séparés par une virgule) rendent compte de la souffrance amoureuse et de l’inconstance de l’amour. En effet, la mort par noyade apporte le froid contrairement à la mort par brulure (ce qui sera repris dans le vers suivant)

des contraires : ¬ Les antithèses (« Je vis, je meurs … ») expriment l’inconstance dans les différentes sensations et émotions éprouvées. Les parallélismes de construction (« tout en un coup » vers 5 et 8 dans le 2nd quatrain) et la parataxe (suite d’indépendantes sans liens logiques marqués) dans les deux quatrains font ressortir, par l’antinomie, la dualité de l’état de la passion d’amour et son incohérence. ¬ L’amour a donc un aspect polymorphe : alternance et ambivalence

l’extrait, les traits de son caractère prennent un tournant. Au vers 571 Arnolphe s’adresse directement à Agnès en l’appelant par son prénom pour exprimer son intention. Cette question est le début d’un échange de vers 572 à 575 qui se compose de parataxes et d’interruptions d’Arnolphe par des phrases succinctes qui établissent une tension. Par cette brièveté des phrases, l’auteur atteint le point culminant de l’extrait, car les phrases incomplètes créent une vivacité dans le dialogue. Arnolphe prend

ennemi le plus acharné et un peu plus tard il les punira sévèrement quand ils se seront également joués de son fils (deuxième partie).La conclusion de la farce (lignes 24- 27) Le dénouement de la comédie approche et s’accélère avec l’emploi de la parataxe ( juxtaposition des phrases, sans connecteur ).«  Enfin l’heure du sommeil étant arrivée » : la tournure est ironique, en réalité, M.de G…M… n’a pas l’intention de dormir, il est pour lui maintenant temps de se retrouver seul avec Manon pour

donnent une impression plus saccadée que les vers impairs  - Phrases verbales simples sauf une phrase complexe avec 2 indépendantes "Le vent profond/pleure, on veut croire"  On a donc des asyndètes (fait de ne pas utiliser de subordinations et des parataxes (pas de liens entre les différentes phrases, absence de mots de liaison)  ---> Cela montre un monde disloqué, une sorte de chaos  - Phrase courte : on a 8 phrases de 2 vers et 6 phrases de 1 vers  Phrase nominale : le 2eme quatrain et le 5eme

grossir les traits d’Euphrosine : la coquette. Mais peut-on réellement parler de dimension satirique dans ce portrait ? Nous avons vu que le discours de Cléanthis était très rapide, très saccadé. En effet, nous pouvons noter l’utilisation de la parataxe et du rythme binaire. Pour ce qui est du rythme binaire il y a tout d’abord l’opposition des deux journées différentes mais aussi une construction des phrases en deux parties : «on se mire, on éprouve son visage», «des yeux battus, un teint fatigué»

des associations et des oppositions. Un poème incantatoire Nombreuses exclamations ; Nombreuses interjections ; Absence de phrases construites. Un poème "moderne" déroutant Un poème en prose à la syntaxe primaire (notons l’usage de la parataxe, de l’ellipse, de l’anacoluthe : par exemple le début « Bien après les jours et les saisons, et les êtres et les pays, / Le pavillon en viande saignante sur la soie des mers et des fleurs arctiques ; (elles n’existent pas.) ». Nous pouvons nous rendre

nécessite un éveil mis en scène par Télémaque. On voit une représentation du monde (donc de la nature), il faut imiter l’esthétique de la nature (donc la recréer dans l’art, et pourquoi pas dans l’art d’écrire). Dans l’art d’écrire, Fénelon utilise la parataxe : il y a une accumulation et une superposition de sensations. Cette représentation du monde et de la nature ne réapparaîtra que chez Baudelaire (au XIXième siècle). En voulant représenter la nature, Fénelon garde l’optique de plaire et instruire

contradictoire → aspect de tension. Les vers se suffisent à eux mêmes. Succession de propositions, sauf vers 4, 9, 19 : propositions subordonnées relatives, expansions du nom. Pas de connecteurs logique. Construction sans connecteurs logiques : parataxe ou asyndète. Chaque dizain est une phrase. Présent de description. Ne nous permet pas de nous situer dans un espace ni dans un temps. Passé composé : « derniers vers ». Aspect accompli et irréversible. « Va choir » : présent à valeur de futur

soulignant leur promptitude « aussitôt », « à peine » traduisant qu’ils sont animés d’une même volonté, qu’ils agissent à l’unisson comme un être unique. De plus, la rapidité d’éxécution est symbolisé par la juxtaposition de « tristes, gais » v-18, la parataxe ne necessitant pas de mots de liaison convoquant une rapidité d’éxécution. De même, le chyasme « prêt à tout, à tout in différent » montre l’absence de libre-arbitre. Le seule et unique guide est le Prince, comme dans De la Cour de la Bruyère, ou