Parti socialiste belge

mobilisation de son électorat. Mais ça n'est possible (là encore en général) que si le parti est motivé, que ce soit l'instance dirigeante ou les militants. Avec ces quelques remarques qui éclairent, en formalisant peut-être plus qu'elles n'apportent du sens, ceux qui conduisent les campagnes électorales devraient songer à réorienter un peu la leur ou à donner une autre image... Pour l'instant, le Parti socialiste déprimé et démotivé réussit pleinement la démobilisation ; l'UMP motivée cherche à préserver

d’un milieu en groupe ou sous-groupes obéissant à des orientations politiques divergentes. Dans les sociétés dotées d’un cadre démocratique stable, les clivages politiques s’inscrivent pour l’essentiel dans des institutions telles que les systèmes de partis par exemple. Les clivages politiques se ramifient et s’entrecroisent au niveau de trois catégories qui sont les clivages socio-culturelles, les clivages d’appartenance fondamentale et les clivages d’aptitudes et de comportement. Ici, on va s’intéresser

Depuis 2005, la Belgique utilise le CV anonyme dans l’administration fédérale, d’une part, pour le recrutement du personnel contractuel et, d’autre part, pour la mobilité interne des fonctionnaires. En Grande-Bretagne, les libéraux démocrates ont déposé en 2009 un amendement tendant à obliger les employeurs à utiliser le CV anonyme. Cet amendement a été retiré, le gouvernement attendant les résultats d’un « testing ». Les résultats de ce dernier ont été publiés en octobre 2009, ils montrent l’existence

« petites » lignes classiques qui seront oubliées. Source : Dominique Seux, « Les Echos » du 19 mai 2011, http://blogs.lesechos.fr/dominique-seux/le-tgv-tours-bordeaux-en-bonne-voie-a5796.html consulté le 12/10/2011 à 23h45. Questions : 1.A partir des documents 1 et 2, présentez à plusieurs échelles, les enjeux de la construction de la LGV Tours-Bordeaux. 2.Pour quelles raisons, la construction d'une telle ligne représente-t-elle une opportunité pour la région Poitou-Charentes ? 3.D'après

Commission pourra poursuivre devant la justice européenne les pays qui ne respecteraient pas les standards internationaux. En Allemagne, le nucléaire est déjà l'un des thèmes des législatives de septembre. Si elle parvient à former une majorité avec le parti libéral FDP, la chancelière chrétienne-démocrate Angela Merkel voudrait revenir sur l'accord de sortie signé en 2000 sous le gouvernement SPD-Verts, qui prévoit la fermeture des dix-sept réacteurs encore en activité d'ici à 2020. Les Verts ont annoncé

pour que de nombreuses associations, rejointes par le Parti de gauche, le PC ainsi que des membres du PS ciblent la politique de Manuel Valls. Parmi eux, Claude Bartolone et le numéro 1 du PS, Harlem Désir. La gauche de la gauche réclame elle la démission de Manuel Valls. Au gouvernement, le ministre de l'Education, Vincent Peillon, appelle à "sanctuariser l'école". Leonarda, elle, souhaite revenir en France. Les lycéens défilent. Prenant le parti de la collégienne et d'un autre adolescent récemment

Bastille à Paris, rencontre sur la terrasse d’un café avec Nicolas, 27 ans, militant actif au sein de l’organisation politique, Alternative Libertaire. Engagé depuis huit ans, il a choisi de militer au sein d’une organisation politique plutôt qu’un parti, pourquoi ? Cigarette à la bouche, pinte de Monaco posée sur la table, Nicolas n’est pas très à l’aise. Ses mains sont croisées, l’air hésitant. Il commence à expliquer ce que signifie être un militant : « C’est avant tout un engagement, une implication

que pourraient être tentés de laisser croire certains élus de droite, qui ont constamment accusé leurs adversaires d’« angélisme » avant de saluer le discours de fermeté prononcé par Manuel Valls à l’Assemblée nationale, mardi 13 janvier, le Parti socialiste ne découvre pas la lune en matière de sécurité. Le premier ministre en sait quelque chose, lui qui a constamment cherché à convaincre ses « camarades » d’adopter une position ferme sur le sujet. Ce qui, il est vrai, n’est jamais allé de soi

5ème république est composée de plusieurs parties : Le Partie Socialiste, partie politique actuellement au pouvoir sous le président François Hollande et son premier ministre Manuel Valls, Le premier secrétaire est actuellement Jean Christophe Cambadélis. Le second partie est plutôt considéré d’extrême gauche, il se nome Parti de Gauche et est présentement dirigé par Jean-Luc Mélenchon. Viens ensuite Europe Ecologie les Verts, est également un partie de gauche, qui comme son nom l’indique est

elle qui dénonce l’UMPS elle est en train de proposer un système FNPS. Alain Juppé aussi, pourtant contre le FN et partisan du front républicain a repris la formule FNPS en précisant qu’il était inquiet et qu’il y a une vrai complicité entre les deux partis depuis longtemps. Nicolas Sarkozy a repris son argument lors de son premier meeting en septembre dernier et disait je cite : Je Le deuxième article que j’ai choisis est un article des Echos, parût le 3 Mars 2015. Il s’intitule « Alors que le FN