Pie VII

pape et membres de l'Eglise et ambassadeurs. Maria Letizia, mère de Napoléon, a été placée dans les tribunes par le peintre. En réalité, elle n'a pas assisté à la cérémonie mais demanda au peintre de lui attribuer une place d’honneur. Le pape Pie VII se contente juste de bénir le couronnement. Il est entouré par les membres de l'Eglise. On peut voir Le peintre David qui s’est lui-même représenté et se trouve dans les tribunes. Le tableau est parcouru par plusieurs lignes directrices

premières, un Christ pour la chapelle du palais Pitti. Un i christ en ivoire de 93 centimètres qui lui est attribué a été exposé de 1968 à1995 année ou il fut volé, en dans Notre Dame de Grâces de Serignan dans l'Hérault. Don du pape de Napoleon Pie VII au cardinal Isoard deVavenargues cette oeuvre est classée au patrimoine historique et recherchée. Cellini finira sa vie en Italie au service des Médicis entre autre. Mais il est surtout célèbre pour ses oeuvres d'orfèvrerie et de ciselure, qui sont

visé est le peuple. 2) DECRIRE L'OEUVRE : Que voit-on ? Que lit-on ? Qu’entend-on ? L’œuvre se compose de Napoléon, de l'impératrice Joséphine de Beauharnais accompagnée des dames d'honneur, des ambassadeurs, des membres de l'église avec le pape Pie VII, des grands membres de l'état, des frères et sœurs de Napoléon et du peintre David lui même. Napoléon se situe (à peu près) au centre de l’œuvre, Joséphine aussi, les frères et sœurs de l'empereur à gauche du tableau, les grands personnages

cathédrale de Reims. Au moment où le pape allait prendre la couronne, dite de Charlemagne, sur l'autel, Napoléon la saisit et se couronna lui-même. Joséphine reçut de lui la couronne et fut sacrée solennellement impératrice des Français, alors que le pape Pie VII, assis à droite, tend la main en signe de bénédiction. Napoléon prend ici ses distances avec le protocole monarchique et veut rompre avec l'héritage Bourbon. Néanmoins, les différents objets rappellent les regalia royales : couronne et sceptre sont

couronnement. Une lumière claire met en valeur seulement Napoléon et le Pape. Il y a près de cent cinquante personnes qui assistent à la cérémonie. On distingue plusieurs personnages : Napoléon 1er en n°1, Joséphine de Beauharnais en n°2, le Pape Pie VII en n°13, les sœurs de l'empereur en n°7, la mère de Napoléon en n°3 elle n'était pourtant pas présente à la cérémonie, le petit fils de Napoléon en n°6, le peintre David en n°14, des grands personnages de l'Etat en n°4 et 5, les ambassadeurs en n°8

on retrouve maintenant les membres du clergé. La rupture se fait avec l’archevêque de paris qui porte la croix puis l’on remarque la présence de nombreux évêques et cardinaux dont le cardinal-légat Caprara qui se tient debout juste à coté du pape. Pie VII a été convié au sacre mais tiens un rôle très secondaire. Il est représenté assis, il ne porte pas de mitre, Napoléon lui tourne le dos et il se contente simplement de bénir d’une main la couronne. Avec cette mise en scène napoléon marque son détachement

s’accompagne aussi souvent d’une raie de mulet, et parfois des zébrures sur les membres. Il peut y avoir des marques blanches. Les robes pie La robe pie n'est plus, chez nous, réservée aux poneys. Dans certains pays comme la Grande-Bretagne, on trouve même de plus en plus de chevaux de sport pies, et ils sont plus chers que les autres à qualité égale !  On parle de pie dès lors qu'on note la présence de plages blanches dans une robe de base quelle qu'elle soit et/ou au moins une balzane dépassant le

désormais, les évêques se doivent de prêter serment à la reine, et non à la papauté. Un véritable scandale pour l’époque ! Cette politique soulève quelques révoltes catholiques et puritaines, vites matées par la reine, qui est alors excommuniée par le Pape Pie V. Les contemporains du règne d'Elisabeth Ière : - Henri II, roi de France de 1547 à 1559 - François II, roi de France de 1559 à 1560 - Charles IX, roi de France de 1560 à 1574 - Henri III, roi de France de 1574 à 1589 - Henri IV, roi de France de

pendant longtemps, le catholicisme ayant été la religion de la majorité des français pendant plusieurs siècles. Sa puissance lui valu l'appellation de religion-état. Le concordat de 1801 est l'aboutissement des négociations entre le pape Pie VII et Napoléon. Le pape Pie VII reconnaît la compatibilité de l'évangile avec la forme démocratique et le catholicisme n'est alors plus accepté en tant que religion d'état. Mais après la chute de Napoléon, les choses changent. L'Eglise hésite à accepter une liberté

28/10/1958 03/06/1963 | | | | | |   Pie XII 02/03/1939 – 09/10/1958 Pie XI06/02/1922 -10/02/1939 Benoît XV 03/09/1914 - 22/01/1922 Pie X 09/03/1903 - 20/08/1914 Léon XII20/02/1878 - 20/07/1903 Liste des Papes. 1. Pierre, 32-67 2. Lin, 67-76 3. Clet, 76-88 4. Clément, 88-97 5. Evariste, 97-105 6. Alexandre Ier, 105-115 7. Sixte Ier, 115-125 8. Télésphore, 125-136 9. Hygin, 136-140 10. Pie Ier, 140-155 11. Anicet, 155-166