Portrait Moral D Oenon

de lui dire qu’elle l’aime. Lignes 634-640 : elle fait un portrait antithétique d’un Thésée maintenant vieilli et infidèle. Infidèle car « volage adorateur de milles objets divers » : le mot objet qu’on peut traduire par femme. « qui va du Dieu des Morts déshonorer la couche » car il a même essayé de voler la femme du Dieu des Morts. Puis elle fait son portrait lorsqu’il était jeune et fier (voilà pourquoi on peut parler d’un portrait antithétique). « Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche » :

l'univers a sur lui ; l'univers n'en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever et non de l'espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale. 348 - Roseau pensant - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité, mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres : par l'espace, l'univers me comprend et m'engloutit comme un point ; par la

d'abord, une héroïne tragique. Elle semble faire les mauvais choix et subit la fatalité. (Citation/ Justification par la forme) En effet, son portrait est teinté de culpabilité et de faiblesse par les champs lexicaux vus précédemment. Ces caractères sont amplifiés lorsque plus tard dans la scène, elle est prise de folie : son instabilité achève son portrait tragique. (Explication) Cette fragilité la rend suicidaire et désespérée. Cela l'amène à énoncer à la fin de la scène : « Crois-moi, ce monstre

d’abord, une héroïne tragique. Elle semble faire les mauvais choix et subit la fatalité. (Citation/ Justification par la forme) En effet, son portrait est teinté de culpabilité et de faiblesse par les champs lexicaux vus précédemment. Ces caractères sont amplifiés lorsque plus tard dans la scène, elle est prise de folie : son instabilité achève son portrait tragique. (Explication) Cette fragilité la rend suicidaire et désespérée. Cela l’amène à énoncer à la fin de la scène : « Crois-moi, ce monstre

monsieur ? Chicanneau Oui-da, gaîment, À tout ce qu'elle a dit, je signe aveuglément. ------------------------------------------------- Autres exemples[modifier] La litote par la pronomination Dans Phèdre (Racine), le protagoniste amène par un portrait moral à faire penser à un autre qui est scandaleux. Faire ainsi deviner plus fort que ce qui est dit. En réalité, c’est le spectateur qui profite de l’écart entre l’apparence conventionnelle du propos et sa signification profonde et plus abrupte. Voici

« Une farce ignoble » (l.27) : - « ridicule » + « odieux » + « hideux » + « ignoble »: CL de la laideur. -  « spectacle » + « auditoire » + « public » + « farce » : CL du spectacle. Cette situation grotesque, ridicule et horrible provoque un dégoût moral. -  « horrible et grotesque se côtoient » (l.22 à 26) : « iroquois et topinambour » : langues des indiens d'Amérique, « à merveille » : discours indirect. Mauvaise foi des moins et absurdité des paroles prononcées. Les critiques : -Le clergé : lâche

préface du Tartuffe 1664 ​« S i l’emploi de la comédie est de corriger les hommes, je ne vois pas pour quelle raison en aura de privilégiés. ….Nous avons vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction…Les plus beaux traits d’une sérieuse morale sont moins puissants que ceux de la satire. ;et rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs défauts.​ »Et l’auteur de développer ici les vertus de l « raillerie » pour faire progresser les hommes Cette visée est très présente

Celui qui est là, peint sur ce portrait, que vous avez toutes vu en entrant et que vous évitez de regarder depuis que je vous parle, celui auquel vous pensez sans cesse pendant que je débite mes sottises : Don Juan. La Mort et le temps qui passe Phèdre, Acte 5, scène 7, Racine, Thésée, roi d’Athènes et de Trézène, a disparu. Phèdre, son épouse, se meurt d’un mal mystérieux. Elle en avoue l’origine à sa nourrice Œnone : elle aime Hippolyte, fils de Thésée. Œnone la convainc que la mort de Thésée

princesse. Le " on " est impersonnel. Ensuite la situation s'inverse car c'est le duc qui regarde la princesse. Enfin, on a le regard de la foule pour faire écho. II - La présence du destin a) des héros complémentaires  Ce récit met en parallèle deux portraits et montre qu'ils sont faits l'un pour l'autre. b) l'événement La scène a lieu lors d'un bal royal. Il s'agit des fiançailles de la fille du roi au Louvre. Le duc suivi de nombreux nobles fait une entrée spectaculaire. Il est très à l'aise et social

 tout  de  convention  et   n’intervenant   pas   dans   l’action,   il   existe   des   confidents   à   forte   personnalité   qui   ont   une   fonction  tragique  (tentateur  ou  complice),  comme  Oenone  dans  Phèdre.     1.1.3 Dans  le  drame     Au  XVIII°,  le  public  se  passionne  pour  le  théâtre,  mais  délaisse  la  tragédie  qui  subsiste  encore   avec  Crébillon  père  et  Voltaire