Prohibition des drogues

formulaireDrogues : la légalisation est-elle la solution ? La loi sur les stupéfiants : une « politique de l'autruche » C’est un sujet tabou en France. Pourtant, l’éventualité de légaliser les drogues refait régulièrement surface. C’est actuellement le cas. Depuis janvier 2011, deux ouvrages prônant cette idée (« Drogues, pourquoi la légalisation est inévitable » de Michel Henry (Denoël) et « Pour en finir avec les dealers » de Stéphane Gatignon et Serge Supersac chez Grasset) ont déjà été publiés. Et pour

Introduction La prohibition de l’alcool dans les années 1920 et 1930 aux États-Unis a été une période marquante de l’histoire Américaine. Le but de cette prohibition était de réduire la consommation d’alcool en éliminant les entreprises qui manufacturaient, distribuaient et vendaient ce produit. Considérée par plusieurs comme étant une expérience sociale et politique qui n’a pas été capable d’atteindre ses objectifs, cette période a complètement changée la façon dont les Américains percevaient les

La Prohibition fait référence à plusieurs périodes de la première moitié du xxe siècle où la fabrication, le transport, l'importation, l'exportation et la vente de boisson alcoolique étaient prohibés dans certains pays, comme : * la Finlande (1919 à 1932), appelé kieltolaki ; * le Canada (de 1900 à 1948 dans la province de l'île-du-Prince-Édouard (moins de 80 000 habitants à l'époque) et pendant de plus courtes périodes dans plusieurs autres provinces) ; * la Russie (1914 à 1925) ;’e

Prénom : Yvan Titre du TPE : La prohibition de l’alcool aux Etats-Unis. Noms des autres membres du groupe : Urruty Jauffray , Philippe Jean-Baptiste Disciplines concernées : Histoire et Géographie, Sciences économiques et sociales. Thème concerné : Contraintes et libertés. I) Présentation du travail : Expliquer la problématique et présenter le plan en détaillant ensuite chaque partie : La problématique met bien en évidence tous les aspects de la prohibition. Nous traiterons le sujet premièrement

traitement de l'alcoolisme et la toxicomanie (stratégies et concepts essentiels, 1986). Nous verrons, dans cette section, les cinq grandes perspectives historiques qui ont influencé notre perception des problèmes reliés à l'usage de l'alcool et des drogues. Les perspectives sont les suivantes: Perspective coloniale Perspective du mouvement de la tempérance Perspective médicale Perspective socioculturelle Perspective de la distribution de la consommation 1. La perspective

raison des saisies et des interpellations, et le nombre de consommateurs diminués. La politique répressive en place depuis une bonne décennie ne porte donc pas ses fruits le cannabis reste la drogue interdite la plus consommée au monde, en particulier en Europe selon l'Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité. Aussi il cause moins de dommages collatéraux que l’alcool qui lui n’est pas interdit, que cela soit au volant ou dans la vie courante, l’alcool cause beaucoup plus de ravages

soulager les forces de police et de décongestionner les établissements pénitentiaires. Autant dire une révolution. Aucun autre État américain et aucun pays au monde n’a légalisé ni taxé la vente de cannabis, les conventions de l’ONU imposant sa prohibition. Arnold Schwarzenegger se dit ouvert à « un débat robuste ». Contrairement à 1972, quand la Californie avait massivement rejeté une initiative visant à légaliser la marijuana, défendue alors comme étant « inoffensive » et favorisant la « tolérance

 l’utilisation  de  cette  drogue  douce  et  ce  pour  de   sois   disant   problème   de   santé   que   sa   consommation   engendrerait 1 .   Cette   prohibition   n’est   pas   un   problème   en   sois,   le   problème   est   que   le   cannabis   est   traité   juridiquement  à  même  titre  que  si  c’était  n’importe  quelle  drogues  dures  comme  la  

suscite le plus d'inquiétudes. Le premier objectif de cette mesure reste d'endiguer le trafic de drogue dans le pays. Et surtout, permettre à l'État d'en prendre le contrôle. Parce que cette loi représente une manne financière estimée entre 30 et 40 millions de dollars (l'Uruguay compte trois millions d'habitants), qui pourraient être immédiatement réinvestis dans la lutte contre l'addiction des drogues. Néanmoins, le président uruguayen concède qu'en cas d'échec, il sera prêt à faire marche arrière

sur un chiffre d'affaires de 578 millions de dollars (425 millions d'euros) en 2014, dont 67 millions (49 millions d'euros) iront directement dans les caisses de l'État. Une partie de ces recettes fiscales sera allouée à la prévention contre les drogues. Environ 27 millions de dollars (20 millions d'euros) seront, eux, destinés à la construction d'écoles. Pour le moment, il est encore trop tôt pour savoir si ces estimations sont à revoir ou non. Les premiers chiffres officiels sont attendus pour