Quatrième concile du Latran

monastiques, le clergé régulier, comme celui des Cisterciens après la fondation de l'abbaye de Cîteaux en 1098. Avides de pureté, les moines de Cîteaux rejoint par Saint Bernard en 1112, organisent autour de la prière et du travail. • En 1215 le concile de Latran réaffirme le droit canon de l’Eglise et établit le droit du mariage. 3) Le renouveau économique de l'Occident : Depuis le 11ème siècle, l'Occident connaît un développement économique rapide qui s'accompagne d'une reprise démographique importante

d’une région ou en Concile : réunions de tous les évêques du monde. B. Les institutions ecclésiastiques au 5ème 1. Le pape C’est le nom qu’on donne à l’évêque de Rome Ce pape prétend être supérieur aux autres évêques car il descendrait de St Pierre, de plus, St Pierre a été envoyé par le Christ qui lui a dit : « tu es Pierre et sur cette pierre je construirais mon Église » Cette prétention arrive au 4ème qui reconnait le chef de l’Église. Constantin donnera comme palais le Latran puis il deviendra

d’autres formes de lois qui vont provenir d’assemblées populaires ou de certains magistrats. -lex rogatae au IVème siècle = votées / comices populaires – le plus souvent comices centuriates (peuple regroupé en unité fiscale) -plébiscites = décisions du concile de la plèbe. Plébiscites et lex rogatae deviennent une seule et même réalité normative. -lois octroyées = lois concédées / généraux vainqueurs aux cités vaincues. Ces lois ne concernent que le droit public. Droit privé relève du jus civile = ancien

les personnes E. La socialité humaine IV. LES DROITS DE L'HOMME a. La valeur des droits de l'homme b. La spécification des droits de l'homme c. Droits et devoirs d. Droits des peuples et des nations e. Combler l'écart entre la lettre et l'esprit QUATRIÈME CHAPITRE LES PRINCIPES DE LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE I. SIGNIFICATION ET UNITÉ II. LE PRINCIPE DU BIEN COMMUN a. Signification et principales implications b. La responsabilité de tous à l'égard du bien commun c. Les devoirs de la communauté

Istanbul. c] L’arbitrage chrétien, le concile. Un certain nombre d’effort envers les monarchies en construction. Les autorités religieuses de l’époque vont inventer une procédure juridique qui est le concile. Cette institution sert à réaliser un arbitrage. Le concile est l’assemblée des autorités religieuses, les évêques qui ont pour but de concilier toute diversité [dogme, liturgie,…]. Concile régionaux : évêques d’un pays, d’un Etat. Concile œcuménique : tous les évêques du monde chrétien

le pape Grégoire IX créa Le Tribunal d'Inquisition, placé sous le contrôle de l'ordre des Dominicains. D'abord présentée comme un organisme judiciaire temporaire, l'Inquisition a été transformée en établissement régulier et permanent par les conciles du Latran (1215) et de Toulouse (1229). Toute personne pouvait être poursuivie sur simple dénonciation, l'essentiel pour les juges étant d'obtenir l'aveu des inculpés, ce qui, à partir de 1252, les amena à utiliser la torture. Par son action brutale,

commune. C’est l’occasion d’approfondir ce qu’est la grande tradition scientifique du droit en Europe, sa méthode. Suivront un second titre qui a pour objet les contrats et quasi-contrats et un troisième intitulé « les délits et quasi-délits ». Un quatrième titre sera réservé aux suretés et à la théorie des statuts élaborée par Bartole au XIVe siècle, autrement dit au droit international privé qui date également de cette époque. Titre premier – Sources et méthode du jus commune Avant de commencer

ultérieures du XIIe siècle. Enfin, les pouvoirs majeurs du royaume de France ont dû s’adapter à l’investiture laïque. L’affaire n’a pas pris la tournure d’une crise majeure comme pour l’empire. Si la législation grégorienne est proclamée dès le concile d’Autun en 1077, on s’est contenté d’affirmer les principes et de transiger avec les autorités pourvu qu’on ne laisse pas des prélats indignes s’installer. Cette politique est relativement souple car le pape s’appuie sur l’alliance française pour

chap. 34 (éd. G. H. PERTZ, MGH, SS, I, Hanovre, 1826, p. 38). Parce que chez les Grecs le titre d'empereur n'était plus porté et que chez eux l'empire était tenu par une femme, il parut au pape Léon et à tous les saints pères qui siégeaient audit concile et à tout le reste du peuple chrétien, qu'ils devaient nommer empereur Charles lui-même, le Roi des Francs, lui qui tenait Rome elle-même où de tout temps les Césars avaient eu l'habitude de résider et qui tenait aussi leurs autres résidences en Italie

complètement inconnu en Occident, même en Italie (le Pape a fait une demande de lecture du digeste) mais c'est une œuvre d'une extrême complexité. Le digeste sera l'élément moteur, déterminant, de la renaissance du droit romain à partir du XIe siècle. → Le quatrième et dernier ouvrage : Les Novelles. On renoue avec le soucis de codifier la lex, car les novelles constituent une codification impériale postérieure au code. Mais cette codification est différente des 3 autres ouvrages, car c'est le fruit d'initiatives