Quatrième concile du Latran

l'appliquer dans ses circonscriptions en ait un autre pour que ni le missus ni le comte n'agissent autrement que comme nous l'avons ordonné dans ces chapitres ; que nos missi placés à la tête de l'armée en aient un troisième et que notre chancelier ait le quatrième. »11 . Les ordres royaux sont des actes à valeur législative, le roi est donc un législateur, mais ce pouvoir est délégué à l'administration, ces documents sont fondateurs de l'ordre et de la justice. C. L'essor de la puissance aristocratique. Le

famille adverse, Crescenti, il a des renforts armés, va faire peur au jeune Benoît. Grégoire VI, parrain de Benoît qui a acheté sa dignité papale. Henri III est appelé, descend avec ses troupes, dépose les 3 papes, annule leur trois charges, tient un concile qu'il dirige, et va faire nommer un pape de sa suite, en 1046, Clément II, évêque allemand qui le suivait dans cette expédition. On profite de cette expédition pour couronner Henri III, tel Charlemagne, et donc Clément II va rester sur le trône se

de l'hérésie établie par le pape Grégoire IX à partir de 1231. À cette date, la punition des hérétiques et l'anathème contre les ennemis de la foi étaient des faits déjà anciens, selon ce qui avait été en particulier prescrit par le deuxième concile du Latran (1139). Il appartenait aux évêques de rechercher les hérétiques, aux juges séculiers de les punir, aux rois et aux princes de prêter, sous peine de déchéance, leur concours à cette répression. Très différente est l'Inquisition ; elle se présente

une doctrine inspirant toutes ses actions, il vaut peut-être mieux avoir recours aux idées de famille et à une tradition bi-millénaire d'inspiration et d'imprégnation chrétienne. Parti interclassiste, mais indépendant de l'Église, surtout depuis le Concile, elle correspond bien sociologiquement et idéologiquement à des aspirations anciennes et profondes d'une partie importante de la société italienne. Citer ce document / Cite this document : Lucet Charles. Existe-t-il une doctrine de la Démocratie

témoignages. Plusieurs princes mérovingiens, bien que chrétiens, ont eu plusieurs femmes simultanément, l’avènement de la dynastie carolingienne en 751 ne changea rien à cet Etat des choses et Charlemagne a entretenu plusieurs épouses, pourtant le concile de Tolède en 400 avait interdit à tout homme marié d’entretenir une concubine sous peine d’être excommunié. Cette position revenait à condamner indirectement la polygamie car il est évident qu’aux yeux de l’Eglise, la seconde femme épousée du vivant

avec Martin Bucer, et à Wittenberg. Dans les années 1440, Genève devient le centre intellectuel de la seconde réforme, impulsée par Jean Calvin. Les Catholiques s’efforcent de réagir et l’Eglise pour opposer une réponse cohérente, organise un grand concile universel, en Italie à Trente, par interruptions de 1545 à 1563. Il s’achève en 1563, par des résultats inverses aux motivations initiales. Désormais il y a deux camps irréconciliables, le camp de la « réformation » (protestant) et le camp « catholique »

Emanuel de Witte (1660) → le calvinisme est parfois caractérisé par ses églises et son mode de vie sobres et dépouillés. _ Le Concile de Trente ou la Contre-Réforme Catholique : Le concile de Trente est le dix-neuvième concile œcuménique reconnu par l'Eglise catholique romaine. Réunion du concile de Trente à Sainte-Marie-Majeure, Musée diocésain de Trente Ce concile fut convoqué par le pape Paul III suite aux demandes insistantes de Charles Quint pour répondre au développement de la Réforme

arrogé le titre de Pontife et le pontife n’a pas revendiqué les prérogatives royales… le Christ a réparti l’exercice des deux pouvoirs en des actes propres relevant de dignités distinctes » Le problème ne se posera en termes pratiques qu’au quatrième siècle, quand l’Empire adoptera le Christianisme. Dès 311, Galère publie un édit de tolérance, suivi deux ans plus tard de « l’édit de Milan » par lequel Constantin posait comme principe la liberté religieuse. Suivront « de nombreuses constitutions

principaux saints romains, Saint-Pierre dans Rome, Saint-Paul sur la route d’Ostie, la basilique des deux apôtres, Saint-Laurent et Sainte-Agnès. À ces sanctuaires hors la ville s’ajoutent ceux situés à l’intérieur de celle-ci : l’église du Sauveur au Latran, Sainte-Marie Majeure sur l’Esquilin. Mais jusqu’à la fin du VIIIe siècle, ces églises furent concurrencées par les catacombes et cimetières suburbains, immenses sanctuaires où les pèlerins se recueillaient devant la tombe des martyrs. Pour permettre

vont profité des incertitudes du droit pour l’interpréter au mieux de leurs intérêts et pour le sanctionner de manière arbitraire. Les plébéiens sont le peuple, ils vont s’insurgés. Ils se réunissent dans des assemblées appelées conciles de la plèbe. Au sein de ces conciles ils élisaient des représentants, des tribuns. Par l’intermédiaire de ces tribuns, la plèbe va demander à partir de 462 avant JC, des lois écrites permettant de limiter l’arbitraire du magistrat. En 451 avant JC, les patriciens sont