Salon des indépendants

En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien John Peter Russell qui l'introduit auprès d'Auguste Rodin et Camille Pissarro. Il commence à s'intéresser à la peinture impressionniste qu'il découvre en 1897 au musée du Luxembourg

Gallery, Londres Son premier grand tableau, Une Baignade, Asnières a ete refusé par le Salon en 1884. A l'exposition de la Société des Artistes Indépendants, il rencontre Paul Signac avec lequel il se lie d'amitié.  Initié par Signac apparaît le groupe des néo-impressionnistes qui rassemble des artistes utilisant la technique du pointillisme. .***En décembre, Seurat présente une nouvelle fois aux Indépendants Une Baignade, Asnières ainsi que des premières études pour Un Dimanche à la Grande Jatte

naturel optimiste et débrouillard, il obtient une bourse qui lui permet de suivre des cours aux Beaux arts ET DE TRAVAILLER DANS L'ATELIER D'UN SCULPTEUR ACADEMIQUE RECONNU : ANTONIN MERCIE. A PARTIR DE 1907, diplômé des beaux-arts, il expose au Salon d’Automne. Auguste Rodin, célébre artiste sculpteur, président du jury, remarque son travail et lui propose de devenir metteur au point (assistant) dans son atelier à Meudon ce qu'il accepte, 50 assistants travaillent pour lui déjà. Il y fait la connaissance

format (114 x 146 cm) Lieu de conservation : Musée de l’armée (Paris) Biographie de l’auteur Félix Vallotton (1865 – 1925). Suisse, puis français. Renommée internationale. Il participe régulièrement à différents Salons (Salon des artistes français, Salon des indépendants, Salon d'automne). À partir de 1899, il se consacre essentiellement à la peinture. Touché par les horreurs de la Première Guerre mondiale, il trouve dans le conflit une source d'inspiration (art abstrait). Description

ami Alfred Jarry, lorsqu´il aprit que Rousseau occupait le poste de « gardien des contrôles et des circulations du vin et de l'alcool » Début de sa carriére de peintre était assez tardive, il a eu plus de quarante ans quand il participait au Salon des Indépendants pour la première fois en 1886, grâce à l´absence de jury d´entrée Clémence meurt en 1888, il épousse Josephine Noury en 1898, mais leur mariage ne dure que quatre ans, étant finit de nouveau par la mort de sa femme En 1893 il quitte l'octroi

artistes indépendants » fondée sur le modèle de celui qui est à Paris et reprenant la même devise: 'Ni jury, ni récompense'. Mais lors de l'organisation d'une exposition en 1917, il décide de provoquer le comité d'accrochage des œuvres avec sa fameuse Fontaine car au salon des Indépendants de 1912, à Paris, ses propres frères -délégués lui avait demandé de retirer son Nu descendant un escalier, parce qu'il n'était pas conforme à leur notion du cubisme. Ce qui le vexa. Alors que ce salon était censé

l'Académie des Beaux-Arts de Prague dans la section peinture sacrée et historique. En 1910 survient la première rupture stylistique : Kupka s'oriente vers l'art non- figuratif. Et en 1912, le Salon d'automne accepte d'exposer des œuvres non-figuratives comme « Fugue en deux couleurs ». Au Salon des Indépendants, Kupka est exposé avec les peintres cubistes, mais il refuse d'être assimilé à un mouvement. En 1913, il publie «La Création dans les arts plastiques», dès la déclaration de guerre d'août

Paris avec Augusta Preitinger, avec qui il se marie en 1901. Il est attiré par les quartiers de la prostitution et aime peindre des prostituées en les représentants dans des scènes de la vie parisienne. Il expose régulièrement au Salon des Indépendants et au Salon d’automne avec Henri Matisse, entre autres. Dès 1905, van Dongen réalise des toiles aux couleurs intenses et fortement contrastées, aux contours cernés qui se situent pleinement dans le fauvisme. Fin 1905, l’artiste emménage avec sa

sur Les Artistes indépendants, définit alors Jean Metzinger comme "un mosaïste comme Signac, mais il est plus précis dans sa découpe des cubes de couleurs, qui semblent avoir été fabriqués par une machine"1. L'usage général du terme « cubisme » date de 1911, principalement en référence à Metzinger, Gleizes, Delaunay et Léger2[réf. insuffisante]. En 1911, le poète et critique Guillaume Apollinaire a accepté le terme au nom d'un groupe d'artistes invités à exposer aux Indépendants de Bruxelles. Du

se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. Il participe régulièrement à différents salons (Salon des artistes français, Salon des indépendants, Salon d'automne). À partir de 1900, il délaisse progressivement la gravure et l'illustration pour se consacrer à la peinture. Il peint des scènes d'intérieur, puis se consacre à des thèmes classiques, paysages, nus, portraits