Subjonctif

Le verbe « auriez voulu » (l.3) est au conditionnel passé, il exprime une hypothèse non réalisée : c’est un irréel du passé. Le verbe « règne » (l.23) est au subjonctif présent, l’emploi de ce mode est commandé par la conjonction de subordination « pour que » qui introduit une subordonnée de but. Le verbe « ait » (l.34) est au subjonctif présent également, il est employé dans une subordonnée après un verbe d’obligation (« il faut que… »). /2 5) Connecteurs logiques a) « mais » (l.31) est une

Récitation de textes ayant fait l’objet d’une étude en classe Edition de référence : Hachette Éducation, collection Bibliocollège (en série au C.D.I.) Planning de lecture et questions de préparation : MAÎTRISE DE LA LANGUE : Le subjonctif : 1. dans les propositions indépendante ou principale (valeur de souhait ou de prière, et remplacement de l’impératif à certaines personnes) 2. dans les propositions subordonnées conjonctives introduites par que (après un verbe de souhait, de

veux » « je voudrais » « je ne veux pas » ( l1 ; l6 ; l10 ; l11) L’auteur est présent et donne des conseils et son avis. B. Utilisation de tournures impératives. Présence de l’auteur + verbes de volonté Tournures impératives : verbes au subjonctif « Qu’on fût » « qui eût » « qu’on exigeât » «  qu’il se comportât » « qu’il se conduisit » « corrigeât » « commençât » « qu’il invente » « qu’il écoute » « qu’il le fasse » … ( l1 ; l2 ; l4 ; l7 ; l8 ; l10 ; l11 ; l15) Cela permet à l’auteur

Onformeleconditionnelpasséavechaberauconditionnelprésent+participepasséduverbe Haber:habría,habrías,habría,habríamos,habríais,habrían Escribir Habríaescrito habríamosescrito Habríasescrito habríaisescrito Habríaescrito habríanescrito ELPLUSCUAMPERFECTODELSUBJUNTIVO(PLUSQUEPARFAITDU SUBJONCTIF)23 Réussirl’espagnolaubac ;Auteur:SeñorLamineKande,titulaired’unCAES,d’unelicenceeslettresespagnoletd’unemaitrisedelangues étrangèresappliquéesenserviceauLycéeMourathNdaodeMekhe Onformeleplusqueparfaitdusubjonctifavechaberàl’imparfaitdusubjonctif+participe

oertat aqua. • Dans les complétives d’objet au subjonctif dépendant d’un verbe de volonté • Dans une interrogative indirect : Orator sagaciter (cherche à fond) quid suis cives (ses citoyens)… • Dans les finales qui expriment l’intention du sujet et la principale Misit legatos ut sibi (le sujet n’est pas identifiable dans la phrase, il se trouve qu’ici il est implicite) res redderentur. • Dans les causales au subjonctif Tristis erat quod nemo se adiret. (c’est bien

de redécouvrir les anciens mots, verbes et expressions d'autrefois qui peuvent paraître étranges de nos jours. Des expressions et mots dont le sens a changé aujourd’hui (bourgeois par exemple).La manière d'écrire en elle-même était différente; le subjonctif étant beaucoup plus employé qu'aujourd’hui : exemple dans "Le mariage de Figaro" de Beaumarchais, qui nous présente un vocabulaire soutenue avec des expressions de l'époque Ainsi que la classe sociale "God-dam", "Sans la liberté de blâmer, il

surprenant ! - avoir la frayeur de sa vie - avoir une peur bleue - avoir la chair de poule (die Gänsehaut) - avoir la trouille* - avoir le cœur qui bat la chamade = avoir le cœur qui bat très vite à cause d’une émotion - avoir peur que + subjonctif : J’ai peur que Jean soit malade. - être angoissé(e) : qui éprouve un sentiment de forte peur - être mort(e) de peur - être horrifié(e) - redouter quelqu’un = avoir peur de quelqu’un - épouvantable = effroyable (schrecklich, entsetzlich) -

et au mode impératif nous avons le choix entre deux possibilités : — remplacer l’impératif par l’infinitif précédé par une préposition. Exemple : Il lui dit : « Viens chez moi. » ► Il lui dit de venir chez lui. — remplacer l’impératif par le mode subjonctif. Exemple : Il lui dit : « Viens chez moi. » ► Il lui dit qu’il vienne chez lui. ● Quand le verbe introducteur est à un temps du passé (n’importe lequel) et que : — le verbe du discours direct est au présent ou à l’imparfait, lors du passage du discours

Le verbe «  finir  » doit être ici au subjonctif présent, après le verbe qui exprime la crainte « redouter ». Il en est de même après les verbes exprimant la volonté (verbe volitifs) ou après certaines expressions telles que : « quoique » ou encore « avant que ». On écarte donc la réponse B, reste la proposition A (« termine » étant à la fois la marque du présent de l’indicatif et du présent du subjonctif), C et D. On peut écarter la A à cause de « avec »

"Ligne 18. * Infériorité des hommes : la faiblesse " faibles créatures " Ligne 2 " imperceptibles " Ligne 2 " nos débiles corps " Ligne 7 " les atomes appelés hommes " Ligne 10. Un souhait omni-présent avec : -l’utilisation du subjonctif présent plus l’accumulation -les mots tels que «  fait que » -le contenu que renvoie à la compréhension, tolérance entre les hommes -une soumission du narrateur avec « s’il est permis à de faibles créatures » ligne 2 ou avec « oser de demander »