Surinfection

précis. Ce diagnostic est d'autant plus complexe que des zones de profondeur de brûlure variable peuvent coexister sur la même brûlure. Schématiquement, dans une brûlure du second degré superficiel, la peau se régénèrera d'elle-même en l'absence de surinfection, tandis que le second degré profond se distingue par une impossibilité de régénération : atteinte vasculaire, destruction des cellules souches épidermiques, … Le second degré profond impose une greffe de peau. Un signe classiquement employé est

peau de boutons d'âges différents : macules, papules, vésicules et croûtes. L'éruption dure au total 10 à 12 jours. L'éruption peut s'accompagner d'une fièvre le plus souvent modérée ainsi que de petits ganglions. 4. COMPLICATIONS ●La surinfection est une des complications possibles, surtout en cas de grattage des lésions. Ces infections nécessitent un traitement antibiotique pour limiter leur extension cutanée (impétigo), voire générale (septicémie). Par ailleurs les boutons grattés peuvent

| Par les secrétions projetées (toux, éternuements matériel suillé, mains | Contagieux 3 à 7 jours | 2 à 8 jours | Rhinite et toux sèche puis difficultés respiratoires | Apnées, surinfections | Des symptômes (désobstruction nasale, alimentation fractionnnée, couchage inclinée parfois kinésithérapie) antibio si surinfection, hospitalisation si signe de gravité | Bronchite | Inflammation aiguë des bronches | virale | Prévention :lutte contre les facteurs favorisant :tabac et pollution, hygiène |

la peau de boutons d’âges différents : macules, papules, vésicules et croûtes. L’éruption dure au total 10 à 12 jours. L’éruption peut s’accompagner d’une fièvre le plus souvent modérée ainsi que de petits ganglions. 4. Complications La surinfection est une des complications possibles, surtout en cas de grattage des lésions. Ces infections nécessitent un traitement antibiotique pour limiter leur extension cutanée (impétigo), voire générale (septicémie). Par ailleurs les boutons grattés peuvent

6 Les complications de l’eczéma: A. Surinfection bactérienne : impétigo, dermites inflammatoires B. Surinfection virales : herpes, pustuleuse varioliforme C. Surinfection généralisée : érythrodermie D. Transformation vers psoriasis E. su surinfection bactérienne: dermites inflammatoiresQuestion 6 Les complications de l’eczéma: A. Surinfection bactérienne : impétigo, dermites inflammatoires B. Surinfection virales : herpes, pustuleuse varioliforme C. Surinfection généralisée : érythrodermie D. Transformation

la sueur. Cet examen est maintenant complété par la recherche des mutations en cause par la biologie moléculaire. IV _ Les signes cliniques. 1) Plan digestif Diarrhées chroniques Troubles de la croisssance 2) Plan respiratoire Toux Surinfection bronchopulmonaire à répétition D'autres troubles peuvent s'observer : Un diabète Des troubles biliaires et hépatiques Plus tard : stérélité. V _ La prise en charge L'enfant est pris en charge par une équipe pluridisciplinaire (thérapeute

l’apparition des premiers boutons appelés vésicules et 5 jours après, jusqu’à dessèchement du bouton (réservoir humain) Complications : Risque de surinfection lié au grattage Rare cas d’encéphalite Ttt : Essentiellement curatif : Antihistaminique : calem les démengeaisons, antiallergiques Antiseptique local : pour éviter la surinfection des lésions Utilisation d’un savon antiseptique si les lésions sont importantes Antipyrétique : pour traiter la fièvre Couper les ongles/ mettre des

santé du patient | Prise en charge infirmière | Evaluation/Résultats | Encombrement bronchique | Aspirations quotidiennesRespect des règles d’hygiène durant les soins et des règles d’isolement protecteur pour éviter une surinfection | Pas de nouvel épisode de surinfection | Gastrostomie :- Risque de reflux gastro-œsophagien- Risque d’obstruction de la sonde | - Vérifier que le patient soit en position demi assise ; administration d’antiémétique (sur prescription médicale); contrôle des selles

baisses de performances et des saisies à l’abattoir. Contrairement aux infections des mammifères, les colibacilloses aviaires prennent des formes générales, avec une voie d’entrée respiratoire ou génitale. La plupart des colibacilloses sont des surinfections, à la suite d’infections virales ou bactériennes (mycoplasmes respiratoires notamment). L’agent de la maladie et son pouvoir pathogène L’agent étiologique de la colibacillose est la bactérie Escherichia coli (E.coli). Il s’agit d’une bactérie

Insuffisance rénale fistules hautes > fistules basses Dénutrition hypercatabolisme : perte de protéines Malabsorption - glucides - lipides (grêle terminal) - protéines - vitamines et oligo-éléments Sepsis Conséquences locales Surinfection du liquide de stomie Liquide corrosif => -Erosions cutanées -Perforations - hémorragies Liquide septique => infection locale générale PRISE EN CHARGE MEDICALE CHIRURGICALE PRISE EN CHARGE MEDICALE Préciser les caractéristiques