Surpoids

niveau d'étude plus élevé. En effet, plus le niveau d’éducation est faible plus le risque de surcharge est élevé. Seulement 12% des personnes obèses ont le baccalauréat alors que ce pourcentage est de 30% chez les individus ne présentant ni de surpoids ni d’obésité. 2) Le sexe A) Différence niveau physique De nombreuses études étrangères montrent que la sédentarité augmente et le niveau d’activité physique diminue quand le niveau socio-économique décroit. Les hommes et les femmes de

sur cette violence et faire changer les mentalités à l’école. Mais sur la question, l’adulte n’est pas épargné lui non plus. Et cela est valable dans le monde du travail. Aussi les employeurs éprouvent des difficultés à embaucher une personne en surpoids ou obèse. «Les entreprises vont éviter de présenter une personne obèse devant un client ou un téléspectateur par exemple. Les recruteurs pensent que cela ne plaira pas», détaille Jean-François Amadieu. Ce n'est pas tant les compétences qui sont jaugées

2) Une personne en surpoids Dans l’Union Européenne, plus de la moitié des jeunes sont en surpoids, et 15,5 % sont obèses. Un jeune Européens sur 7 est en surpoids dans la classe d’âge des 11-15 ans. En France, il y a 8,2 % des Français en situation d’obésité, et 28,5 % en surpoids. Ces chiffres sont ceux de 1997, les pourcentages n’ont pas baissé en 2010, ils ont d’ailleurs eu tendance à augmenter. a. Description Une personne est considérée en surpoids lorsque son indice de masse corporelle

4,2 millions de personnes obèses ( soit 655 000 personnes de plus qu'en 1997 ) soit 9,6% de la population française, contre 8,2 % il y a encore trois ans. 13 millions de personnes sont en surpoids soit 29,4 % de la population française. Soit un total de 17 millions d'adultes français obèses ou en surpoids ou 39% de la population française. A ce rythme, on estime qu'en 2020 près de 20 % de la population sera classé dans le groupe "obèse". (Source : Inserm, Institut National de la santé et de

alimentation correcte (« Alimentation du sportif »). Elle facilite aussi l’évacuation de la tension nerveuse accumulée dans la journée (stress). Des conséquences graves sur la santé : La mauvaise alimentation et la non-activité physique sont cause de surpoids voir d’obésité qui entraines tous deux de graves maladies cardio-vasculaires.

fragiles. Mais si on fait attention, l'activité physique présente de nombreux bienfaits pour la santé. Elle aide à lutter contre certains problèmes comme l'ostéoporose ou le cholesterol, et contribue au développement musculaire et à la réduction du surpoids en brûlant l'excès de graisse et de sucre. C'est aussi un facteur essentiel de bonne santé respiratoire, le cœur est encore plus en action et la ventilation et la circulation dans les poumons et les bronches sont augmentées. Enfin le sport assure

IMC : Indice de Masse Corporelle en kg/m², selon le résultat l'indice caractérise la catégorie de poids à laquelle le patient correspond. IMC = KG divisé par la taille² <18,5= dénutrition de 18,5 à 25 = normal de 25 à 30 = surpoids de 30 à 40 = obésité ( >35 obésité sévère) >40= obésité morbide GIR : Groupe Iso Ressource (calculé à partir de la grille AGGIR) permet de mesurer et de classer les différents niveaux de dépendance pour indiquer un tarif de prise en charge et permet

normal. Entre 25 et 30, c'est le surpoids : les kilos en trop commencent à devenir une menace pour la santé. On parle d'obésité proprement dite lorsque l'IMC se situe entre 30 et 35. Dans ce cas, les risques de maladie (hypertension, diabète, cancer…) deviennent très importants. 2. L'obésité sévère Lorsque l'IMC franchit la barre des 35 mais reste sous celle des 40, on parle d'obésité sévère. Dans ce cas, les risques de développer des maladies du fait de son surpoids sont fortement augmentés. Il

épidémie. Les prévalences du surpoids et de l'obésité infantiles en France ont été estimées à partir de l'enquête « Individuelle et nationale sur les consommations alimentaires » (INCA) sur un échantillon national représentatif de 1018 enfants âgés de 3 à 14 ans. En se fondant sur les nouvelles définitions internationales du surpoids et de l'obésité chez l'enfant proposées par l'International Obesity Task Force (IOTF), il ressort qu'en 1998-99, 11,6 % d'entre eux étaient en surpoids et 3,5 % étaient obèses

acceptable, généralement dû à une accumulation de masse adipeuse. L'obésité se définit par un indice de masse corporelle supérieur à 30. masse (Taille en m)² IMC= Il y a trois silhouette décrivant l’écart : La silhouette normal Le surpoids L’obésité Il existe 4 type d'obésité : Type I : Le surplus de graisse est réparti au niveau du corps sans localisation préférentiel Type II : l'excès de graisse est concentré au niveau du tronc et de l'abdomen : il est question d'obésité