Sweat-shirt

reposer... Clemente aperçut trois personnes assises sur un banc, qui semblaient attendre l’arrivée des ffics. Une jeune femme d’une vingtaine d’années, avec de petites couettes brunes, un sweat beige à capuche et un treiffis. Un grand type musclé avec des lunettes à monture noire, une brosse blonde, un T-shirt bleu et un jean. Et un petit chauve en chemise de flanelle. Tous étaient très calmes. Un peu trop calmes, pour des otages qu’on venait de relâcher. — Quelqu’un est blessé ? demanda Clemente

and chief executive, presented the tribe’s representatives with a Gibson guitar once owned by Hank Williams. Even Steven Van Zandt, the E Street Band guitarist and The Sopranos actor, was on hand to congratulate the tribe, wearing an Indian-themed sweater and headband and snakeskin cowboy boots. The New York Times (adapted) ̈ Check your answers ᕣ Read the text again, paying particular attention to the passages concerning these ‘actors’ and pick out appropriate elements to complete the following

la valise et dit tout bas au Dr Sourire : — Vous pouvez peut-être m’expliquer pour quelle fichue raison, avec tous les embêtements que j’ai déjà, j’ai été encore… — Je vais te le dire, moi, lui cria Roni de la salle de bains. (Elle avait passé un sweater vert pâle des plus moulants et était occupée à le boutonner devant le miroir de sa coiffeuse.) Tu me l’as expliqué hier soir, après ton cinquième bourbon. Tu as dit… (Elle s’interrompit, l’œil en feu.) Ce n’était pas très élégant. Ce que tu as dit

Francisco SFO Il pleut. Encore mal réveillé, Martin écrase un bâillement et serre la barre de l'autobus à la suspension fatiguée qui tangue dans un virage. Il porte sur ses épaules un manteau en moleskine, un jean troué, des baskets usées et un tee-shirt à l'effigie d'un groupe de rock. Cet été-là, tous les jeunes ont quelque chose de Kurt Cobain. Dans sa tête, les souvenirs de ces deux mois passés aux États-Unis se bousculent. Il en a pris plein les yeux et plein le cœur. La Californie l'a emmené

PULLED MY LEGS APART YOU TOOK AN INSTAMATIK CAMERA AND PULLED MY SLEEVES AROUND MY HEART BECAUSE YOU'RE GORGEOUS I'D DO ANYTHING FOR YOU BECAUSE YOU'RE GORGEOUS I KNOW YOU'LL GET ME THROUGH YOU SAID MY CLOTHES WERE SEXY YOU TORE AWAY MY SHIRT YOU RUBBED AN ICE CUBE ON MY CHEST SNAPPED ME TILL IT HURT BECAUSE YOU'RE GORGEOUS I'D DO ANYTHING FOR YOU BECAUSE YOU'RE GORGEOUS I KNOW YOU'LL GET ME THROUGH YOU SAID I WASN'T CHEAP YOU PAID ME TWENTY POUNDS YOU PROMISED TO PUT ME IN

Francisco SFO Il pleut. Encore mal réveillé, Martin écrase un bâillement et serre la barre de l'autobus à la suspension fatiguée qui tangue dans un virage. Il porte sur ses épaules un manteau en moleskine, un jean troué, des baskets usées et un tee-shirt à l'effigie d'un groupe de rock. Cet été-là, tous les jeunes ont quelque chose de Kurt Cobain. Dans sa tête, les souvenirs de ces deux mois passés aux États-Unis se bousculent. Il en a pris plein les yeux et plein le cœur. La Californie l'a emmené

vois monter dans l’ascenseur, aussi j’avance à sa rencontre dès qu’il émerge dans l’appartement. — Taylor. — Monsieur. Il est en nage : sa session a dû être plutôt brutale. — Rendez-vous dans dix minutes, dit-il. — Oui monsieur. Il arrache son tee-shirt tandis qu’il s’éloigne vers sa chambre. Je ne peux manquer de remarquer plusieurs cicatrices rondes et blanches sur sa poitrine. Pour moi, aucun doute, je sais de quoi il s’agit. J’ai servi un temps sous les ordres d’un mec qui aimait écraser ses cigarettes

Give each category a title. beret dress panties slippers top Bermuda shorts frock shirt socks trousers blouse hat shoes stockings cap jeans skirt tights B. Match each adjective (1-8) with the most appropriate noun (A-H), then translate each complete expression into French. a V-necked a pleated high-heeled a short-sleeved a low-waisted fishnet a wedding . a button A. shirt B. pair of jeans C. stockings D. sweater E. dress F. skirt G. fly H. shoes Translations ................................

lounges. Inside, the place is jammed with business types like me. I'm looking for a seat in this place, gazing over the three-piece pinstripes and the women in conservative blazers and so on, when my eye pauses on the yarmulke worn by the man in the sweater. He's sitting next to a lamp, reading, his book in one hand and his cigar in the other. Next to him there happens to be an empty seat. I make for it. Not until I've almost sat down does it strike me I think I know this guy. Running into someone you

honest and has no special talents, and even then only if her hands are never still for a moment. And even then the state councillor[xii] Klopstock, Ivan Ivanovich—perhaps you've heard of him?—has not only still not paid for the half dozen holland shirts she made him, but even offended her and chased her away, stamping his feet and calling her bad names, on the pretext that the collars were the wrong size and too pointed. And here the children were hungry...And here Katerina Ivanovna was pacing the