Tithonien

Formation Dakota (milieu du Crétacé), mais la présence de dinosaures tels que Camarasaurus dans les mêmes roches indique qu'il appartient probablement à la Formation Morrison. Le site daterait donc de la fin du Jurassique supérieur, c'est-à-dire du Tithonien (environ 150 millions d'années)[3]. Un gigantesque fémur a été aussi retrouvé tout près de la vertèbre ; il pourrait avoir appartenu à A. fragillimus. Classification : Animalia – Chordata – Sauropsida – Dinosauria – Saurischia – Sauropodomorpha

s est un genre de dinosaure théropode appartenant au clade des Allosauroidea qui vivait au Kimméridgien et au Tithonien (Jurassique supérieur, il y a 155 à 145 millions d’années environ) dans ce qui est actuellement l’Amérique du Nord, l’Europe et peut-être l’Afrique. Le nom Allosaurus dérive du grec et signifie « reptile différent » ; ainsi, on nomme communément ces animaux allosaures par francisation du nom de genre. Les premiers restes qui peuvent être attribués avec certitude à ce genre ont été

un axe anticlinal constitué de terrains jurassiques et crétacé reposant sur un socle paléozoïque. Les roches visible à l'affleurement sont des terrains datés du Jurassique. Au Cap Gris-Nez, seul le Jurassique supérieur affleure (Kimméridgien, Tithonien). Le Boulonnais, avec sa morphologie en boutonnière, et l'un des seuls endroits en France où la couverture du Secondaire affleure. Nous réalisons une sortie sur la Plage de la Sirène au cap Gris-Nez afin de réaliser une démarche scientifique nous

 100,5 Inférieur Albien ≃113,0 Isolement de l'Afrique Aptien ≃125,0 Barrémien ≃129,4 Hauterivien ≃132,9 Valanginien ≃139,8 Berriasien ≃145,0 Jurassique Supérieur Malm Tithonien 152,1 ± 0,9 Mammifères marsupiaux, premiers oiseaux ; premières plantes à fleurs. Kimméridgien 157,3 ± 1,0 Oxfordien 163,5 ± 1,0 Moyen Dogger Callovien 166,1 ± 1,2 Bathonien  168,3 ± 1,3

alors que dans la zone sud provençale se forme des calcaires (moins profond). Jurassique supérieur on retrouve une homogénéité entre le nord et le sud, des calcaires récifaux se forment localement très épais du faciès Tithonique (Kimmeridgien – Tithonien). Fig Faciès alpin (profond dont l’extension est variable dans le temps)/ Faciès Provençaux (peu profond) / Faciès bordiers (côtier). Haut fond du Verdon. Crétacé inférieur On trouve dans la partie sud des marnes et calcaires de type récifal

teinte beige-doré, à veines et fragments coquilliers gris épars, extraits des terrains de l’Oxfordien supérieur-Tithonien. Sur la commune limitrophe de Hautecourt-Romanèche, une carrière exploite des calcaires compacts à pate fine (pierre marbrière) de teinte jaune-beige, renfermant quelques géodes cristallines éparses. Appartenant également aux terrains de l’Oxfordien supérieur-Tithonien, ces calcaires sont connus sous le nom de Pierre de Romanèche. 22 BRGM/RP-62417-FR Ŕ Rapport final Mémento

turonienne. Les strates de part et d’autre de cette surface ne sont pas parallèles, la discordance peut donc être qualifiée d’angulaire. L’ordre des événements peut donc être le suivant : – dépôt de couches sédimentaires au cours d’une période allant du Tithonien à l’Albien (voire jusqu’au Cénomanien) ; – arrêt de la sédimentation et plissement des terrains existants (ce plissement doit être relié à l’orogenèse alpine) ; – érosion des terrains sédimentaires ; – dépôt de couches sédimentaires au Turonien,

89,8 ± 0,3 Turonien  93,9 Cénomanien  100,5 Inférieur Albien ≃113,0 Isolement de l'Afrique Aptien ≃125,0 Barrémien ≃129,4 Hauterivien ≃132,9 Valanginien ≃139,8 Berriasien ≃145,0 Jurassique Supérieur Malm Tithonien 152,1 ± 0,9 Mammifères marsupiaux, premiers oiseaux ; premières plantes à fleurs. Kimméridgien 157,3 ± 1,0 Oxfordien 163,5 ± 1,0 Moyen Dogger Callovien 166,1 ± 1,2 Bathonien  168,3 ± 1,3 Bajocien  170,3 ± 1,4 Aalénien

Exploitation L’anticlinal de St-Julien-en-Beauchêne (DOCU5a) témoigne d’un intense plissement subi par les roches sédimentaires sous l’action de forces compressives. Le DOCUMENT 5b montre que les roches du Tithonien moyen viennent chevaucher, par l’intermédiaire d’une faille dite inverse, les formations du Tithonien supérieur. Cette structure est également typique de l’action de forces compressives. Ces failles et ces plis traduisent donc un raccourcissement de la croûte continentale. Le panorama de la Montagne

important. Ce carbone organique, enfoui au sein du bassin, a cuit sous l’effet de l’augmentation de la température consécutivement à l’enfouissement et il a formé un fluide qui peu à peu a migré vers le sommet du bassin. Il a rencontré la formation du Tithonien (des évaporites compactes et imperméables) et s’est trouvé bloqué. On le trouve ainsi dans la formation poreuse immédiatement située sous cette roche couverture : la formation Arab (kimméridgien) qui constitue donc la roche réservoir au niveau de