Visages d'Orient

rasé/ Rasé de près/ Barbe épaisse/ Barbe fine/ Barbe carrée/ Barbe pointue/ Bouc/ Moustache fine/ Moustache épaisse/ Moustache frisée/ Collier de barbe/ Duvet/ Pattes/ Rouflaquettes/ Pattes de lapin/ Menton Carré/ Energique/ Volontaire/ Fuyant/ Visage Adipeux/ Agréable/ Allongé/ Amoché/ Anguleux/ Asymétrique/ Bouffi/ Bouledogue/ Chevalin/ Chiffonné/ Creusé/ Crispé/ Décharné/ Décomposé/ Défait/ Délicat/ Détendu/ Emacié/ Empâté/ En lame de couteau/ Eveillé/ Fané/ Fatigué/ Frais/ Front bas/ Front

il distinguait les corps. Alors il allait de l'un à l'autre. Les noyés seuls l'intéressaient ; quand il y avait plusieurs cadavres gonflés et bleuis par l'eau, il les regardait avidement, cherchant à reconnaître Camille. Souvent, les chairs de leur visage s'en allaient par lambeaux, les os avaient troué la peau amollie, la face était comme bouillie et désossée. Laurent hésitait ; il examinait les corps, il tâchait de retrouver les maigreurs de sa victime. Mais tous les noyés sont gras ; il voyait des

jeter car elle ne s’en sert plus car elle a perdu sa féminité en entrant à l’hôpital. Je saute sur l’occasion en lui proposant de s’en servir, elle n’est pas sûre mais je réussi à la convaincre. Elle se met de la crème et des baumes sur le corps et le visage, je l’aide à l’étaler. Je lui maquille les yeux et les joues, et la coiffe avec ses accessoires, elle me dit qu’elle désire une « couette comme les petites filles » je lui fais. Elle se trouve belle et retrouve le sourire. Elle m’explique qu’elle

traits doublés nous permettant de distinguer laquelle est celle qui viendra s’ajouter au reste du corps, l’autre restant constituée de traits légers à peine esquissés mais prouvant que le personnage n’est pas figé dans l’espace. Il peut bouger et son visage se positionnerait donc ainsi, de plus les traits en diagonale donnent une forte impression de mouvement voir presque d’action en cour, comme si la madone allait se lever d’un moment à l’autre. Des traits bien plus épais marquent les limites les zones

vêtements qui ne sont pas ceux de la vie quotidienne.  Toute la troupe porte un masque3 dont Aristote avoue ignorer l'origine4. Selon la Souda, ils dérivent de l'innovation de Phrynichos, se passant le visage au blanc, puis à la teinture de pourpier. Les masques anciens ne couvrent que le visage. Par la suite, ils s'agrandissent vers le sommet du crâne, de sorte à pouvoir y fixer des perruques ou au contraire, à figurer un crâne chauve. Le masque est percé aux yeux et à la bouche, pour permettre

exprimer la peur, la joie et la tristesse. Ainsi, vous ne rencontrerez plus de clichés entre vos lignes mais plutôt de nouvelles idées qui méritent d’être retenues !   |Heureux comme un poisson dans l’eau |Un large sourire se dessine sur mon visage |Mon cœur sauta de joie | |Je suis enchanté |Je pleure de joie |Larmes de joie | |La vie me sourit |Je saute de joie

William Robert Pendelbury est un homme âgé de 23 ans, dévoué à sa famille et aussi à son pays, avec un sens honorable. Il est un homme qui aime plaire aux gens et sa ce voit dans la façon dont il se tient. Ses gestes, ses yeux et son visage sont accueillants et chaleureux. Il est aussi affectueux, souriant, généreux, respectueux, loyal, aimable et ambitieux. Contrairement aux hommes qui ont servi dans la guerre, William a gardé ses valeurs morales et sa stabilité. Ses objectifs n’ont pas changé

Vendéens. L’homme au chapeau haut de forme, à genoux Est-ce un bourgeois ou un citadin à la mode ? Le pantalon large et la ceinture de flanelle rouge sont ceux d’un artisan. L’arme, tromblon à deux canons parallèles, est une arme de chasse. A-t-il le visage de Delacroix ou d’un de ses amis ? L’homme au foulard noué sur la tête Avec sa blouse bleue et sa ceinture de flanelle rouge de paysan, il est temporairement employé à Paris. Il saigne sur le pavé. Il se redresse à la vue de la Liberté. Le gilet

décontractée. On peut s’imaginer qu’elle est allongée sur le dos et que la photo est prise de dessus. L’utilisation du noir et blanc rend son regard d’autant plus sombre. La douceur d’Eleanor est présente dans son anatomie seule. La rondeur de son visage, de ses bras, de son cou la rend chaleureuse, maternelle. On aurait presque envie d’aller se blottir contre elle. Qu’elle soit nue (au moins le haut), sans maquillage fait qu’on la voit naturellement belle et simplement femme. On voit, discrètement

considérée comme un objet * La réponse par le sourire A partir du 2ème mois, l’enfant montre une attirance particulière pour le visage par rapport aux autres choses qui l’entourent. En effet, son attention peut être captée de manière prolongée par le visage d’un adulte. Et quand l’enfant en est à son 3ème mois, il est capable répondre au stimulus que le visage provoque. Cette capacité à réagir de l’enfant vient du fait qu’il a beaucoup progressé autant dans le domaine physique que psychologique