Notre exposé portera sur l'énorme échangeur Turcot. Cet échangeur, construit sur trois étages, est situé au sud-ouest de l'île de Montréal. Ce mastodonte a été inauguré le 25 avril 1967 tout juste avant l'Expo 67 et il relie l'autoroute 15 Nord, l'autoroute 15 Sud, l'autoroute 20 et l'autoroute 720. Mais, la reconstruction de l'échangeur est inévitable ! Alors voici les différents points qui seront apportés : les causes du problème, les conséquences reliées à ce problème et les différentes solutions proposées.

Pour commencer, parlons un peut des causes de la reconstruction du colosse. Peut-être que ce problème ne nous touche pas directement ici en Beauce, mais il nous concerne de façon monétaire. Avec nos hivers vigoureux et des erreurs de construction, la reconstruction complète est obligatoire (photo à l'appui à l'exposée). Puisque plus de 290 000 véhicules circulent sur ce géant et ce n'est qu'une question de temps avant qu'il devienne un danger pour les utilisateurs.
Maintenant, enchaînons avec la deuxième partie soit, les conséquences reliées à ce problème. Si la ville de Montréal donne le feu vert pour l'ouverture du chantier, cela aura plusieurs répercutions. Tout d'abord, la circulation sera extrêmement affectée puisqu'avec 190 000 utilisateurs chaque jours l'échangeur Turcot est l'un des plus utilisé au Québec. De plus, les coûts de cette reconstruction s'élève a plus de 1,5 milliard de dollar (ce montant n'inclue surement les frais de retard). Pour finir, l'espace de travail est un point importent dans les différents plan proposé.
À présent, voici quel que exemple qui selon nous pourrait être envisageable. Tous d'abord pour absorber les frais de reconstruction, des systèmes de péages à l'entré du nouvel échangeur. En second lieu, il serait possible de se servir des fondations existantes pour le nouvel échangeur. Cette solution est nettement plus avantageuse puisqu'elle couperait dans les coûts et l'espace de travail serait beaucoup moindre que