À toi, pour toujours, ta marie-lou
Dans la discussion de Marie-Louise et de Léopold, on sent bien que les personnages sont plus aliénés que révolté, car ils décident tous les deux à la fin du roman de s’aliéner.
Marie-Louise tente de dénoncer son aliénation en se révoltant, lorsqu’elle parle de son futur enfant. Elle avoue que dans le passé, elle était indignée face aux violences de son mari. Avec ce futur enfant-là, elle voit une force et une nouvelle chance de se révolter, de faire enfin changer les choses. Elle affirme d’ailleurs qu’elle ne laissera personne faire de mal à son enfant et que ce sera le seul qu’elle va vraiment aimer. Elle affirme donc, que les précédents elle ne les a pas aimés, car elle laissait Léopold les touchers. Elle souligne aussi d’ailleurs « pis y’a personne qui vas y toucher! ». Cette affirmation prétend qu’elle ne veut plus vivre comme avant, elle veut se révolter. …
Léopold démontre qu’il est davantage aliéné que révolté, puisqu’il avoue avoir envie de tout laisser tomber sans faire d’effort. Il a envie de « pogner la