12. Les sources des droits subjectifs dissertation
En Islam il est de notoriété que l’intérét ,l’usure (riba en arabe) est prohibé tant par le coran que par les hadiths.
L’islam a du créer l’obligation morale de n’utiliser l’argent qu’a des fins de production, pour soi et pour le bien de la communauté
Cela à emmener les économistes contemporains à se pencher sur un système financier qui respecterait ces percepts pour un meilleur confort du croyant
Les arguments
« O les croyants! Craignez Allah; et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants. Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'Allah et de Son messager. Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés.» (Coran, Sourate ALBAKARA, versets 278 et
279)
« Ceux qui mangent (pratiquent) de l'intérêt usuraire ne se tiennent (au jour du
Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent: "Le commerce est tout à fait comme l'intérêt". Alors qu'Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. » (Coran, Sourate ALBAKARA, verset 275)
Evitez les sept (péchés) destructeurs: le polythéisme, la magie, le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit, l'usurpation des biens de l'orphelin, le fait de "manger" de l'intérêt
(akl oul ribâ), la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes." (Mouslim)
Les savants musulmans ont déduit que le croyant musulman ne devait donc pas prêter son argent à intérêt, ni même avoir recours au prêt à intérêt.
Devant l'apparition des nouvelles pratiques bancaires, au cours du XXe siècle, les savants musulmans se sont interrogés sur la question. En 1965, une commission de juristes musulmans venus de 36 pays s'est réunie en Egypte, à al-Azhar, afin de statuer sur la question de l'intérêt. Ils confirmèrent unanimement cette prohibition.
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