4 Mthode de HAWORTHVHEZ les oses
Les bons filtres à particules constituent un moyen approprié pour filtrer les micro-organismes
Kurt Tiefenauer
Directeur technique
Exposé présenté lors du symposium sur les filtres à air, onAir 05, 11 novembre 2005, à Wettingen
Le savoir local sur l’air
En 2006, Theodor Ernst fête son 75e anniversaire. Nous lui adressons toutes nos félicitations. Le fondateur de notre entreprise a consacré toute sa vie professionnelle, à l’épuration de l’air dans les bâtiments et à l’environnement, en y apportant des connaissances étendues et en faisant preuve d’engagement. Depuis quelques années, les mesures microbiologiques sur les filtres à air, sujet du présent exposé, font partie de ses travaux. Theodor Ernst les a le plus souvent réalisés lui-même.
Nous le remercions pour ces travaux précieux!
1. Introduction
Ce matin en entrant dans cette salle, dans laquelle vous allez être amenés à passer les sept prochaines heures, vous êtesvous posé la question de savoir si la qualité de l’air est bonne ou mauvaise? Nous ne pensons pas à la température ou à l’humidité, mais aux champignons et aux bactéries.
Les normes en vigeur aujourd’hui en matière de technique de ventilation ne disent presque rien sur les valeurs microbiologiques dans les habitations ou les locaux professionnels. On connaît les valeurs-limites en matière de technique pour les salles blanches ou lors de travaux ciblés sur les microorganismes, par exemple dans
l’industrie alimentaire.
En qualité de fabricant de filtres et de représentant de produits de filtration réputés en
Suisse, nous avons bien entendu voulu savoir dans quelle mesure nous pouvons influer ces valeurs et déterminer la part de responsabilité que nous pourrions éventuellement avoir en matière de dégradation de la qualité de l’air.
De surcroît, les entreprises effectuant des mesures dans ce domaine sont de plus en plus nombreuses. Il y a six
ans,