A villequier, voltaire
· v 1 à 12 : confession du poète à propos de la mort de sa fille· v 13 à fin : généralisation sur la perte d’un enfant Hélas ! vers le passé tournant un œil d'envie,Sans que rien ici-bas puisse m'en consoler,Je regarde toujours ce moment de ma vieOù je l'ai vue ouvrir son aile et s'envoler !Je verrai cet instant jusqu'à ce que je meure,L'instant, pleurs superflus !Où je criai : L'enfant que j'avais tout à l'heure,Quoi donc ! je ne l'ai plus !Ne vous irritez pas que je sois de la sorte,Ô mon Dieu ! cette plaie a si longtemps saigné !L'angoisse dans mon âme est toujours la plus forte,Et mon cœur est soumis, mais n'est pas résigné.Ne vous irritez pas ! fronts que le deuil …afficher plus de contenu…
je ne l’ai plus !”=> expriment encore la soudaineté de la disparition se répétant dans son jaillissement le premier cri