Activite De Groupe
Jean-Luc Godard, À bout de souffle
Dans l’article « La Nouvelle Vague : Un cinéma au masculin singulier » par Geneviève Sellier, on peut voir plusieurs arguments de la représentation des hommes et femmes. À la fin des années 1950, la nouvelle vague est née et il est devenu un mouvement du cinéma français populaire. L’argument le plus apparent que Sellier accent est que les hommes dominent les femmes en plusieurs situations, ce qu’on peut voir dans les films de la nouvelle vague. Elle dispute que les hommes réagissent et que les femmes ne savent pas comment répondre et aussi que les hommes ne veulent pas que les femmes travaillent, mais qu’elles prennent les rôles traditionnels. Au contraire, les femmes veulent être libres et non seulement rester dans la maison et aussi elles ne veulent plus être des objets de fixation amoureuse qu’elles sont. En conclusion, on est d’accord avec les arguments que Sellier présent dans son article.
Dans le film «A bout de Souffle» les arguments de Sellier peuvent être appliqués. Patricia est dévalorisée par Michel le long du film. Elle est un objet de fixation amoureuse qu’il prétend et ne traite pas avec le respect qu’elle mérite, ce qui est dévalorisant. Patricia et Michel sont toujours en conflit, mais ces conflits sont montrés d’une perspective masculine. Il y a des points où on voit seulement le côté de Michel et ne voit même pas le visage de Patricia. Ce n’est pas toujours évident ce qu’elle pense ou ce qu’elle veut dire en certaines situations à cause du point de vue masculin. Pendant le film les spectateurs sympathise avec Michel parce que les hommes sont montrés comme les héros dans la nouvelle vague. Il y a deux exemples ou Michel est montré comme victime. Le premier est quand Michel arrive à Paris sans argent. Les spectateurs sympathise avec lui parce qu’il ne peut rien faire et il doit trouver une autre façon pour survivre. L’autre temps quand on est compatissant envers Michel est quand Patricia