Agonie de Félicité
Il s’agira de montrer comment la mort de félicité est évoqué et devient une apothéose mystique.
I les aspects réalistes de l’agonie de félicité : Le narrateur adopte un point de vue très distant avec son sujet : félicité et l’agonie de celle-ci (il se situe entre le point de vue externe et interne, celui de la Simone, on découvre les éléments de la procession et aussi on découvre les éléments hétéroclite).
Félicité ici meurt d’une pneumonie, car la chambre alloué par Mme aubain était humide, malsaine, tous cela a provoqué sa maladie. Les éléments réalistes de l’agonie sont tous d’abord indiqués par la progression de son mal, qui est décrit comme un compte rendu presque médical.
Ex : « le délire de félicité tomba » « les sueurs froides le long de sa tempe » « le râle » « le bouillon d’écume » « tout son corps tremblait » « son cœur se ralentit peu à peu » « elle exclama son dernier souffle ».
Tout cela est décrit de façon très réaliste à la manière d’un médecin qui serait attentif à chaque signe corporel de l’annonce de la mort.
Le caractère religieux de la chambre est lié à des détails comme les répliques, les flambeaux, les couronnes de violettes et fleurs. L’effet de vision de félicité juste avant sa mort est lié au mutisme de celle-ci qui plus est, est sourde à la fin de sa vie. Le personnage sombre dans le silence, or la narration porte sur des notations sonorités.
Ex : râle, les renflements des ophicléides, voix claires…
Tous ces effet (s s’oppose a un effet de sourdine