Agriculture : Secteur phare de l'économie marocaine, employant plus de 45 % de la population et disposant d'une perspective d'évolution très élevée si l'on prend en compte les ressources naturelles dont dispose le pays. Limite: dépendant des aléas climatiques d'une manière excessive.

Tourisme : Grace à sa position géographique, son climat varié et au niveau de vie relativement , le Maroc est perçu comme une destination attractive pour les touristes, pour ce, le gouvernement s'est trouvé dans l'ardente obligation d'investir pour améliorer la qualité des services touristiques en mettant en place plusieurs objectifs à atteindre moyennant le fameux plan Azur.
Où l'on est avec la réalisation de ces objectifs et quel est l'impacte de la crise sur ce secteur ?

Telecom : Secteur en plein essor au Maroc et l'un des plus avancées en Afrique, ses potentialités de développement sont encore plus importante.
Enjeux : protection de la vie privée des consommateurs, e-commerce peu développé,
Niveau d'intégration des nouvelles technologies …

Santé: Tout le monde sait que les hôpitaux et le secteur sanitaire en gros n'est pas l'éden au Maroc, alors il nous est indispensable de réprouver un peu ce qui ne va pas et pourquoi pas essayer de creuser profond la source du problème.

Education : Malgré une multitude de programmes qui visent la réforme de l'éducation (Idmaj, Plan d'Action National pour l'Enfant, Programme d'urgence du Ministère de l'Education Nationale) ,plusieurs défis n'ont pas manqué d'inverser l'effet de ces efforts consentis et le niveau de l'enseignement au Maroc se dégrade jour après jour.
Pourquoi on est arrivé jusque là et quels sont les défis cruciaux qui se posent ?

Un empêchement
Banque, services financiers et assurances : Dans un cadre de crise financière mondiale comment le Maroc résiste au choc et comment peut il se développer au sein d'une économie reste très dépendante de secteurs cycliques et influencée