Alphonse mucha
Son usage se diversifie en 1796 par un musicien allemand, Senefelder, qui met au point la lithographie.
En 1870, l’affiche envahie les murs et les palissades de Paris. Paris, qui est à la fois la capitale de la France mais aussi la ville qui attire l’Europe entière d’une part pour ses plaisirs, ses Beaux-arts, ses progrès technologiques et ses inventions. L’affiche a d’autant plus de faciliter à s’imposer en France car la censure est la moins intransigeante du monde. Paris est donc à la pointe des développements d’une nouvelle forme d’art: l’Affiche.
Le formidable essor industriel du XIXe siècle, avec les débuts de la mécanisation, l’organisation de la production ouvrent une ère nouvelle.
Productivité et consommation sont les deux critères de l’économie moderne et vont transformer la société en « société de consommation ». L’image se doit d’être « impactante ».
C’est en 1935 que Savignac, rencontre son futur maître Cassandre qui lui commande une affiche et l’engage. Il retiendra de son enseignement que, « l’affiche n’est qu’un moyen, un moyen de communication entre le commerçant et le public, quelque chose comme le télégraphe. L’affichiste joue le rôle de télégraphiste : il n’émet pas de message, il le transmet. On ne lui demande pas son avis. On lui demande seulement d’établir une communication claire, puissante et précise. »
Dans l’analyse suivante, nous allons voir comment deux affiches, l’une d’Alphonse Mucha, Job, et