Analyse de Guigemar: Du Merveilleux
Le rôle du merveilleux dans le lai Guigemar L’histoire de Guigemar de Marie de France, écrite vers 1160 à la cour de l’Angleterre est un texte représenté du nouveau genre de la littérature—le lai. Les lais de Marie de France sont devenus bien connus pour leur sujet de l’amour courtois. L’amour courtois était un nouveau sujet qui s’intéresser à la vie des nobles à la cour et l’invention de l’amour romantique. Au début, on voit que Guigemar n’est pas un homme ordinaire—il est héroïque, beau, et très sérieuse. Guigemar, un chevalier, est l’héro de la romance idéale des lais. Donc, l’élément du merveilleux dans le lai Guigemar est essentiel pour indiquer l’amour courtois et son exclusivité de la vie ordinaire. De plus, du merveilleux en Guigemar est important pour aider l’intrigue de la Dame et Guigemar. Le lai de Guigemar est basé des histoires orales de Bretagne, donc se n’est pas trop surprenant à voir des éléments de la fantaisie. Mais en cet histoire, les éléments de la supranaturel ne servent pas pour démontrer le pouvoir au-delà les personnages. Mais c’est plutôt pour illustrer ce nouveau idée du romanticisme et du signifiance et pouvoir de l’amour. Au début du lai, Guigemar ne s’intéresse pas du tout à l’amour—en contraire, il se concentre sur la valoir et son succès comme chevalier. C’est un évènement du merveilleux qui force Guigemar à changer d’avis. Guigemar, qui est toujours en tout control de sa vie, change quand il est blessé à la cuisse. Pour la première fois, cette rencontre avec le supranaturel (la biche blanche qui parle) lui montre son faute—Guigemar est trop concerné par sa vie de chevalier qu’il ne se laisse pas trouver de l’amour. Apres son premier rencontre avec du merveilleux, Guigemar se rend compte que il doit faire confiance en son destin. Aussi, le rencontre avec la biche montre exceptionnalisme de l’amour de quelqu’un de la condition de Guigemar—qui est plus que homme ordinaire. Le deuxième rencontre avec du