Analyse du dénouement du docteur pascal
On l’appelle l’épilogue ou exipit.
I) Une ode à la vie
* Ses différentes références à la vie
On retrouve de nombreuses métaphores qui font référence à la matérialisation de la vie.
Exemple : « naissait, créé, œuvre » permettent d’associer la naissance à une création artistique. C’est lié à une forme de perfection ; ainsi qu’à la pureté, mais aussi aux éléments naturels comme l’eau, le ciel, renvoyaient à une forme de sérénité.
Sérénité teintée a l’espérance : « champ lexical de l’espoir et de la lumière ».
_ Les images de la vie sont liés à la musique, renforce la joie ressentie
Instrument précis cuivre, fanfare renvoient à une sorte de célébration de la vie.
* L’image de la maternité
Symbolisée par Clothilde. Cette dernière est associée a la joie : répétition de l’adjectif « heureuse ». Elle est aussi le symbole de la vie « Une mère qui….continué et sauvé ? ».
Elle permet par cette association une continuité de l’œuvre de Pascal. De plus, sorte d’osmose entre la mère et l’enfant, maternalisé par la présence du discours indirect libre permettant de connaitre les pensées de Clothilde marquée par l’espoir et le doute.
Cette image est aussi liée à une vision religieuse de la vie car l’enfant est presque associé au messie. D’ailleurs, utilisation du vocabulaire religieux avec « prière », « prophète », « antéchrist », « dieu ». Ce champ lexical est ainsi pour montrer la victoire de la science sur la religion.
II) Un dénouement ouvert
* Ouverture sur l’avenir
L’enfant n’appartient plus à l’arbre généalogique de la famille car il semble lié à la force mais aussi au mystère lié à la science puisqu’on ne sait pas s’il a des tares. Il permet un rappel à l’arbre généalogique souvent cité dans l’œuvre, mais il est aussi lié à un contraste « à moins qu’il ne fût l’antéchrist, le démon….trop v.. ».
Elle craint ainsi que l’espoir soit vain.
* La