Les cinq relations
Le poème « les cinq relations » écrit par Segalen Victor en 1929 et tiré de l’ouvrage « Stèles » arrive en peu de lignes à nous faire réfléchir sur les relations amoureuses. Nous allons voir comment en nous intéressant à la forme puis on fond de ce texte.
Tout d’abord, dans le 1er paragraphe, on parle de 4 relations. Les 3 premières ont un rythme marqué, accentué par l’absence de verbe. Mais la quatrième casse le rythme en ne suivant pas la forme « du… à…, la… ». Dans le deuxième paragraphe on ne parle que d’une seule relation, celle de l’amour, ce qui montre son importance. Le rythme est beaucoup plus lyrique, chaleureux. Il y a des verbes ainsi qu’une ponctuation peu courante (« ! », « - »,…), mais on remarque aussi que contrairement au précédent paragraphe où il n’y en avait aucun, on retrouve 6 marques de la première personne. Avec cette forme du texte, on remarque l’importance que l’auteur accorde à la cinquième relation, celle de l’amour.
Ensuite, pour s’intéresser au fond, on remarque que les que les 4 relations du premier paragraphe sont reprises dans le deuxième sauf dans l’ordre inversé et conjuguées au féminin. On voit que c’est comme si la relation amoureuse enveloppait les autres. De plus, le « mais » et le « plus que » accentuent son importance. Ce qui nous fait poser la question : « Est-ce que la relation amoureuse remplace les autres relations ? » Pour continuer Victor commence son troisième paragraphe avec « Je lui dois par nature », ce qui veut dire que c’est le propre de l’Homme, et il poursuit par « relation de distance, d’extrême et de diversité » par quoi on comprend que dans un couple, il ne faut pas toujours être ensemble (« distance » l.8) et ne pas faire tout le temps la même chose (« diversité » l.9) même si il est plus important que tout le reste (« extrême » l.9
En conclusion, on voit à travers cette analyse que la relation amoureuse est très importante, peut-être plus importante que toutes les autres. Mais il