Analyse d'oeuvres d'art
Analyses d’œuvres :
Henri MATISSE • L’atelier rouge • Formes • Icare Pablo PICASSO • Les demoiselles d’Avignon • Guernica • La vie
Analyses d’œuvres :
Henri MATISSE
• L’atelier rouge : 1911, huile sur toile, 181x219,1 cm
Dernier rouge décoratif secondaires d’abord, multipliée des abandonne et par du ses pour un tableau, « ateliers L’atelier l’éloge motifs célébrer effet son
symphoniques »,
Rembrandt, la contemplation unicité lumineuse par la seule exposition des œuvres unies a travers la couleur rouge, dans l’esprit de celui qui observe. Il réalise une nouvelle synthèse décorative avec la reprise, sous un angle différent, de la vue de son atelier , ou l’unité des espaces est désormais en charge d’absorber la diversité des histoires. Position solidement frontale selon des axes verticaux et horizontaux, qui gouvernent la répartition des formes rondes ou angulaire, présence du mobilier et utilisation du dessin en linéaire. Le temps n’existe pas, l’horloge centrale n’a pas d’aiguilles et devient un cercle d’où rayonnent les objets vers la périphérie du tableau. On retrouve l’utilisation des trois perspectives : oblique, aérienne du côté gauche, et plate du côté droit. Braque remarquait que « la couleur est absorbée par la couleur ». Au moment même du triomphe du cubisme gris et brun au Salon d’Automne, la couleur absorbe tout chez Matisse, ne distinguant la plupart des objets que par une mince séparation en retrait. C’est l’absence de peinture, qui en laissant paraître le rapport, trace les lignes.
En doublant les objets, Matisse réunit les oppositions ; lignes droites et courbes, rectangles et ronds, peinture et dessin, métal et bois, transparence et opacité, vide et plein. Il reprend aussi des motifs utilisés pour les intégrer dans un autre décor, comme par exemple les petites fleurs bleues de l’assiette qu’on reconnaît aussi sur le tableau d’audessus. Pourtant, un objet reste solitaire : la chaise, qui symbolise la présence du