Analyse de la dimension tragique et le garde de jean anouilh
Ô lit nuptial ! Ô ma demeure souterraine ! », la métaphore « lit nuptial » comme tombeau, tous vont dans le sens de la mort imminente.· Le pathétique qui émeut, suscite la pitié du spectateur et prouve le caractère tragique de la scène (et de la réalité d’Antigone).· La gradation qu’on remarque dans ces expressions « elle a un peu froid », « elle a un petit frisson », « elle a les yeux fermés », est la meilleure preuve répondant à l’entrée d’Antigone dans la mort. Elle la tient déjà : « Je meurs ».ConclusionLes fins de la tragédie de Jean Anouilh, vont vers la grandeur dans l’ordre moral, celui de l’idéal élevé que l’on exécute avec audace, énergie, endurance et héroïsme. Celui-ci est en lien avec la difficulté vaincue, l’ampleur de la réalisation, exigeant des qualités exceptionnelles, en l’occurrence, l’intelligence, la sensibilité et la volonté. Et dans le résultat, on …afficher plus de contenu…
° Les marques d’énonciation (un mot ou une expression qui renvoie à celui qui parle : les pronoms à la première ou à la deuxième personne du singulier ou du pluriel). ° Le discours (propos que l’on tient ou déploiement oratoire). ° Les temps verbaux (inscrivent les actions dans le temps, par rapport au présent, au passé, ou au futur). ° Les registres de langue (langage soutenu, langage courant ou familier, adapté à une situation d’énonciation particulière qui délimite un ton et un choix lexical ou grammatical). ° Le ton de la lamentation (regrets, tristesse intense…). ° Les didascalies : · Didascalies énonciatives / ex