Analyse du texte : Lettre adressée à mes amis blancs qui ne voient pas où est le problème Avec l’emploi de l’anaphore, de l’antiphrase, du pronom personnel à la première personne du pluriel et de la conjonction de coordination : « En France nous ne sommes pas racistes mais … » (l.1), l’auteur s’implique dans ce qu’elle va dire et va prouver qu’en France on est racistes avec l’opposition. L’autrice utilise …afficher plus de contenu…

Avec l’utilisation d’un mot composé avec adjonction d’un préfixe : « surreprésentés » (l.4), elle insiste sur le nombre et donne son opinion par le choix de ce mot. Pour chercher à convaincre son lectorat avec ses expériences, elle emploie des répétitions et un complément circonstanciel de temps et utilise le temps du passé, du récit : « une seule fois » « j’ai répondu » « qu’on a refusé » …afficher plus de contenu…

Pour montrer que les blanches sont différentes et marquer l’opposition, l’autrice utilise une juxtaposition qui précise le « on » : « les blanches » (l.12). Pour marquer une forme de brutalité chez les gens qui n’en ont rien à faire et mépriser certaines populations blanches, elle emploie un terme familier : « rien à foutre » (l.15). Avec l’emploi du discours direct : « c’est parce qu’ils se confinent mal » (l.16), l’autrice veut rendre son discours plus vivant, elle veut apporter une touche d’authenticité en citant des phrases qui ont été dites. Pour marquer l’explication, elle emploie du présentatif : « C’est » (l.16). Ensuite, l’autrice montre le contraste de ceux de Saint-Denis et de ceux de Centre en employant un complément circonstanciel de temps : « tous les jours ». En utilisant une énumération : « à poussette, à vélo, en voiture, à pieds…