Analyse du texte
L’avare

Acte I, scène 4
1. Il a enterré dix mille écus dans son jardin (p.34), tente de dissuader ses enfants qu’il n’en a pas (p.35), en parle souvent, croit que tout le monde veux le voler, veux que sa fille épouse Anselme.

2. Cléante : Nous n’entrons point dans vos affaires. Harpagon : Plût à Dieu que je les eusse, dix mille écus! Cléante : Je ne crois pas… Harpagon : Ce serait une bonne affaire pour moi. (p.36) Harpagon veut de l’argent, il en demande encore.

3. Harpagon n’écoute pas ses enfants et malgré le fait qu’ils ne veulent pas se marier avec n’importe qui, il les oblige.

4. Il a peur de ne pas avoir tout ce qu’il veut avec elle. «Il y a une petite difficulté : c’est que j’ai peur qu’il n’y ait pas avec elle tout le bien qu’on pourrait prétendre.» (p.42)

Acte I, scène 5
1. Harpagon demande l’avis de Valère pour savoir si Anselme est bon pour sa fille. Élise ne veut toujours pas et Valère tente de lui faire comprendre l’importance de l’argent pour ce mariage.

2. Le mariage d’Élise avec Anselme

3. L’énumération des qualités d’Anselme (p.49), répétition du mot sans dot (p.49 à 51), répétition (p.54), champ lexical du mariage.

Acte II, scène 5
1. Il veut recevoir de l’argent, il a peur de ne pas être aimé. Il n’aime pas les jeunes hommes.

2. Il doit faire un souper pour Anselme et il aimerait bien que Marianne soit là pour être à l’aise.

3. Harpagon prend un air sévère lorsque Frosine lui parle d’argent, mais lorsqu’elle parle ensuite de Marianne, il reprend un air gai.

4. D’après Frosine, elle est une femme qui n’a pas besoin de grand luxe comme une table bien servie, elle n’aime pas les superbes habits, les riches bijoux et les meubles somptueux. Elle n’aime pas le jeu et ni les jeunes hommes.

Acte III, scène 1
1. De l’argent. Il pense que tout le monde veut de l’argent et dépend de cela, alors qu’en réalité c’est lui qui en est dépendant.

2. Les nombreuses hyperboles démontrent à quel