Analyse "l'oeuvre" chapitre 6
Parties du chapitre:
Partie 1 : "le soir,[…] lâché avec des rires de soulagement"
Partie 2 : "Juin s'acheva […] ils gâtent le paysage ces monstres"
Partie 3 : "Mais dès le milieu d'aout […] il ne dit rien à sa femme de cette rencontre"
Partie 4 : "Huit jours plus tard […] il s'ennuie."
Partie 5 : "Claude en effet […] jardin désert"
Ce chapitre se situe après le salon des refusés dans lequel Claude s'est senti humilié et avant que Claude et Christine ne retournent à Paris.
Résumé
Au début de ce chapitre Claude et Christine souffrent de ne pas pouvoir se voir autant qu'ils le souhaiteraient, ils décident donc de tout quitter pour aller vivre à la campagne ce qui permet à Claude de fuir la ville et l'humiliation qu'elle lui avait infligée et de se reposer loin de l'agitation de Paris.
Pendant les premiers mois de leurs vie à la campagne, Christine et Claude coulèrent des jours heureux dans une félicité monotone qui, submergeant leur vie, empêcha Claude de retravailler à son art et laissant Christine espérer que l'amour que Claude lui portait avais pris le dessus sur celui qu'il portait à son art.
Surpris par la grossesse inopinée de Christine, le climat de bonheur qui les avaient envahi a progressivement disparu, permettant à l'art de refaire surface et de reprendre une place prédominante dans le cœur de Claude, qui se remit à peindre en demandant à Christine et à son fils de poser comme motifs de chefs d'œuvre, mais n'arrivant à rien de satisfaisant, il retomba dans une déprime solitaire avec cette perpétuelle hantise, Paris.
Après plusieurs mois de dépression Claude croisa par hasard Dubuche, une vieille amitié. Malgré des retrouvailles pour le moins distantes, cela permettra à Claude de faire passer un message à son ami Sandoz et de renouer des liens avec lui, et par la même avec Paris. C'est au retour du salon auquel Claude n’a su se retenir d'assister que Christine, ayant remarqué son agitation et