APP médecine interne 2
UNIVERSITE PARIS DIDEROT 7
UE 2.10 ANALYSE PRATIQUE PROFESSIONNELLE
SITUATION N°2
PROMOTION 2014/2017
2015/ 2016
TIXIER MARINE
Contexte :
La situation se déroule dans le service de médecine interne, dans une unité comprenant 35 lits. Je suis ce jour la dans le service avec l’infirmière et nous faisons le tour du matin afin d’administrer les traitements, prendre les constantes et faire les glycémies des patients atteints de diabète.
Situation
Mme X est âgée de 84 ans, elle est diabétique de type II (non insulinodépendant) et est suivie dans le service de médecine interne pour hyperglycémie.
Nous effectuons 2 passages par jour dans la chambre de Mme X, matin et soir, pour la réalisation d’une glycémie capillaire.
Comme tous les matins, nous devions contrôler la glycémie de Mme X. J’avais déjà réalisé ce soin à plusieurs reprises, alors le temps que ma tutrice s’occupe des constantes d’une autre patiente, je l’ai informé de la glycémie capillaire que je souhaitais réalisé chez Mme X. Après avoir eu son accord, je me suis rendue dans la chambre de Mme X.
Lorsque j’ai piqué le doigt de Mme X avec l’autopiqueur, la goutte de sang prélevée n’était pas suffisante pour mesurer la glycémie. Avec l’accord de Mme X, j’ai repiqué une seconde fois mais j’ai été confronté à un nouvel échec. J’ai dû passer le relais à l’IDE afin qu’elle puisse mesurer la glycémie capillaire de Mme X.
Observations et étonnements
Pourquoi je n’ais pas pu réaliser correctement ce soin ?
Après avoir analyser cette situation, je me suis aperçu que je n’avais pas réalisé certaines étapes importantes du soin. En effet, je n’ai pas massé la pulpe du doigt avant de piquer et placer la main vers le bas afin d’avoir un bon flux sanguin (recommandation de l’IDE). Entre les deux essais de glycémie capillaire, je n’ai pas réfléchi au « pourquoi j’avais rater mon soin ? »
La mesure de la glycémie capillaire n’est pas un soin douloureux en soi, cependant le