Après avoir présenté l'évolution du marché de la musique en france, vous expliquerez pourquoi et comment l'etat tente de le réglementer
1027 mots
5 pages
Devoir maison Sciences Économiques et Sociales du 20/11Il fut un temps, en France, ou le disque d'or était atteint pour 1 000 000 d'exemplaires vendus. Ce chiffre n'a cessé de se dégrader pour atteindre aujourd'hui le chiffre ridicule de 50 000 exemplaires. Cette diminution s'explique par l'effondrement de la vente du CD, là ou les échanges entre vendeurs et acheteurs se faisaient dans un lieu réel, l'arrivée d'internet, de la vente dématérialisé et ainsi du piratage, a amené le marché à s'effectuer dans un endroit fictif. Le marché de la musique a alors été bouleversé, depuis son apogée dans les années 70 il n'a cessé de diminuer. L'arrivé du piratage a accentué sa chute et la crise économique n'a fait que l’amplifier. Les majors de la musique sont impuissants face à leurs problèmes. Ainsi l’État intervient et réglemente ce nouveaux marché et créé des mesures pour essayer de le stabiliser. Comment l’État fait face à la monté du téléchargement illégale en France ? Nous verrons dans un premier temps l'évolution du marché de la musique en France, qui l'influence, et qui tente de l'améliorer.
Depuis le début des années 2000, en France, le marché de la musique n'a cessé de diminuer. Mais est ce le cas dans chacun des secteurs de ventes ? C'est pourquoi une analyse de l'évolution du chiffre d'affaire des ventes physique et numérique est intéressante.
En 2002, d'après une étude de la SNEP, le chiffre d'affaires globale des producteurs s'estimait à 1 302 millions d'euros, chiffre qui a continuellement baissé pour atteindre en 2009 un chiffre de 587,8 millions d'euros soit une variation de -54% sur 7 ans. Mais en étudiant l'évolution sur tout les facteurs, on constate que depuis 2004 le chiffre d'affaires n'est plus basé que sur les ventes physiques, l'arrivé d'internet a dématérialisé la vente de la musique. On remarque alors que seul les ventes physiques sont réellement altérées par la baisse, passant de 2004 à 2009, à un chiffre d'affaires de 953 millions à