Aristote
#1 Ce sont des alcôves(p.264). Ce sont de vieilles maisons. (p.265) Elles sont mal éclairées, elles ont une haleine de vieux quartier. (p.57) Vitrines noires, étroite boutique, pièce obscure, vitrage poussiéreux, allée humide. (p.225) Les moindres bruits ébranlaient la vieille masure collée au flanc du colosse. (p.229) Accroché comme un nid d’hirondelle dans la fente d’un mur.(p.245) Un froid noir tombait du plafond ; des heures se passait sans qu’une cliente vînt déranger cette ombre, et les marchandises, qu’on ne remuait pas, étaient de plus en plus gagnées par la saleté des murs. (p.418) Une poussée avait suffi pour la fendre de haut en bas. (p.444) Le Vieil Elbeuf était fermé, muré ainsi qu’une tombe. (p.450)
Ce sont de petit et vieux magasins sombres. Plus l’histoire avance, plus ces magasins tombent en ruine. Dans le cas Bourra, il va même jusqu’à être démoli.
#2 Il flambe comme un phare, il semble à lui seul la lumière e la vie de la cité. (p.58) La haute porte du Bonheur. (p.278) Des vitrines claires. (p.425) La façade triomphante du Bonheur des Dames. (p.447)
Zola insiste sur la grandeur du magasin. Il est tellement imposant que les clients se perdent dans le magasin. Son aménagement est de plus en plus vaste et varié, son architecture est de plus en plus soigné et son emplacement s’agrandie, puisqu’il dévore les petits commerces à l’entour un à un, jusqu’à ce qu’il possède tout le bloc.
#3 Accroché comme un nid d’hirondelle dans la fente d’un mur.(p.245)
Le petit commerce de Bourras est comparer à un petit nid d’oiseau qui se retrouve dans un infime partie d’un grand mur. Le grand commerce de Mouret est même décrit comme étant un monstre qui avale les petits