Audio-visuel
Sémio-pragmatique, d’envoie et de réception d’un message. On va parler de film, documentaire, rapport de l’image et du son. La façon dont se construisent les images mais aussi, de la manière dont se créé un récit.
Alimenté par des cours théorique concernant la sémiologie.
Notion de connotation, dénotation, notion d’énonciation.
Charles Peirce : tout va marcher par trois. Perception. Il distingue l’indice, l’îcone et le symbole.
I) Qu’est-ce qu’un indice ?
L’indice est un signe immédiat, sans code. Il ne représente pas la chose ou le phénomène. Il le manifeste, il en est la trace. Dans une conversation, les intonations, regards, la posture constitue une couche indicielle.
II) Qu’est-ce que l’icône ?
L’icône est en relation de ressemblance avec l’objet. Des statues, dessin constitue des icônes évidentes. L’architecture peut devenir iconique. L’icône est moins direct que les indices.
III) Qu’est-ce que le signe ?
Le signe du sens interdit. Pour comprendre cela il faut connaître le code car le rapport entre l’image et son sens semble arbitraire
Le symbole est un signe arbitraire. Il ne ressemble pas nécessairement à son objet et il ne prend son sens que parce qu’il est interprété.
Pour Pierce, c’est ternaire car la présence d’un interprétant est nécessaire pour comprendre le lien entre le signe et son objet.
Du côté de Saussure, on a une approche immanentiste. C-a-d, qu’on considère le texte ou le langage comme quelque chose de donné, doté de caractère structuraux permant.
Les approches dites pragmatiques coïncidèrent qu’un signe, qu’un mot, qu’un énoncé ou qu’un texte ne font sens qu’en relation avec le contexte dans lequel ils sont émis ou reçu.
Jean Rouch : Toutes les explications symboliques sont parfaitement contingentes. Les approches pragmatiques mettent le contexte au point de départ de toute production de sens. En l’occurrence, ce contexte peut comporter de multiples dimensions.
Dans le film : double contexte