Autres logiques de l'organisation du monde
1) Une mondialisation sans pilote ?
• Les agences mondiales de l’ONU œuvrent pour la libéralisation des échanges sans avoir de vision mondiale globale : elles subissent une crise de légitimité.
• La régulation de la mondialisation est donc insuffisante et incertaine.
• La difficulté pour établir une hiérarchie dans les structures régulatrices et la concentration des efforts sur l économie induit des contestations.
2) La question du développement est toujours vitale
• La mondialisation s’accompagne d’un accroissement des inégalités entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres.
• Un vaste mouvement social alter mondialiste s’est développé en réaction aux conséquences de la mondialisation libérale.
3) L’exigence d’un développement durable
• Les grandes questions d’environnement se posent à l’échelle mondiale
• Les réponses de la communauté internationale ont donné peu de résultats.
• En 92, s’est fait la Commission Brundtland.
II – Une présence constante des Etats
1) Le pouvoir des Etats en question
• L’essor du libéralisme a réduit les interventions des Etats dans les domaines économiques et sociaux.
• L’action des organisations internationales obéit aux directives des Etats les plus puissants
Les états ont un rôle de régulation.
2) Des blocs régionaux pour des Etats plus forts
• L’essor des organisations économiques régionales est spectaculaire
• Cette « régionalisation » constitue une solution intermédiaire entre la fragmentation du monde en 200 Etats et la mondialisation.
3) Etats fragiles, Etats majeurs
• Des Etats de la planète restent fragiles car trop petits, trop pauvres, pas assez compétitifs.
• La nouvelle carte du monde se structure autour de quelques Etats forts.
• Le G8 est une structure de dialogue entre les pays les plus industrialisés.
III – Une partition selon les aires de civilisations
1) Une pluralité de civilisations
• Une civilisation est le produit