Azerty
Sommaire [masquer]
1 Histoire
1.1 En France
1.1.1 Ajouts de caractères successifs
1.2 En Belgique
1.3 Autres pays
2 Différentes dispositions AZERTY
3 Critiques
4 Notes et références
5 Voir aussi
5.1 Articles connexes
5.2 Liens externes
Histoire[modifier]
Les premiers essais de dispositions de clavier ont été réalisés sur des secrétaires en 1865. La disposition qwerty, brevetée en 1868, a été spécifiquement étudiée pour éviter les risques de blocage des premières machines à écrire mécaniques produites massivement par l’armurier Remington. Sur ces premières machines à écrire, les tiges des touches voisines se coinçaient fréquemment l’une l’autre. La disposition qwerty a donc été conçue afin que les lettres les plus fréquemment contiguës dans les mots de la langue anglaise soient les plus écartées possibles sur le clavier, ce qui limite les risques de blocage des tiges.
En France[modifier]
Machine à écrire allemande "Royal" avec clavier français
La disposition azerty apparaît en France dans la dernière décennie du xixe siècle comme déclinaison de certaines machines à écrire américaines qwerty. Son origine est inconnue des historiens, pionniers et propagandistes de la machine à écrire. Au début du xxe siècle, la disposition française « zhjay » d’Albert Navarre ne trouve pas son public : les secrétaires sont déjà habituées au qwerty et à l’azerty1,2.
Le Minitel disposait d'un clavier azerty
La disposition azerty est un standard de fait en France. Elle ne fait pas l’objet d’une description dans une norme française.