Les achats

Les achats sont comptabilisés avec l'appui de factures qui sont les pièces justificatives.

Le logiciel impose d’enregistrer de prime abord la ligne de crédit, en l'occurrence le fournisseur pour les achats.

Puis les lignes de débits où on réparti l'achat selon sa nature (nourriture, boisson, frais généraux, etc.).

Enfin le compte de TVA déductible s’il y a possibilité de la déduire.

Dans la partie "N° pièce", le comptable utilise la méthode suivante : par exemple 01/10 où 1 correspond au mois de la facture, ici janvier ; et 10 signifie qu'il s'agit de la dixième facture que nous enregistrons pour ce moi-ci.

Par ailleurs, ce système de classement est reporté directement sur la facture où l'on note la référence dans le coin supérieur droit de la facture.

Toutefois, bien que l'on inscrive un numéro de pièce, celui-ci n'a pas de réelle influence car le logiciel classe par dates les opérations.

Le numéro de pièce a une influence seulement en cas de doute ou d'erreur et lors de la révision : cela permet de retrouver plus rapidement la facture concernée.

Mais cette méthode est spécifique au collaborateur en charge du dossier qui l'utilise. Je l'ai donc appliqué afin d'être en accord avec la méthode comptable employée dans ce dossier.

La caisse

Puis, j'ai effectué les travaux concernant la caisse.
L'exploitant tient la caisse d'une manière qui lui est propre : il ne possède pas de caisse enregistreuse. C'est pourquoi il est nécessaire de recompter les tickets journaliers un par un.

Le chiffre d'affaires est directement enregistré en journal de caisse car il s'agit de ventes au comptant, il n'y a donc pas de véritable facturation.
Tous les tickets du jour sont agrafés ensembles. Le restaurateur compte lui-même le total des recettes du jour. Il faut alors recompter chaque ticket, puis vérifier que le total des recettes du jour correspond à ce qu'il a noté auparavant.

En cas d’erreurs, le collaborateur informe son client